L'actualité sur Crimes exemplaires

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Salome-Dem

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FLK

a attribué 7/10 au livre

Crimes exemplaires

1957 • livre de Max Aub

Résumé : Il pourrait s'agir d'un (petit) volume de confessions. A la faveur d'une préface mi-figue mi-raisin, où mauvaise foi et sincérité confondent assez vertigineusement leurs rôles, l'auteur nous laisse croire que les « crimes » dont il est question dans son livre sont le fruit d'une longue enquête auprès des divers (et nombreux) assassins qu'il a pu croiser sur deux continents. Mais très vite l'on sent que ces actes irréparables, il les prend à son compte : oui, c'est bien lui qui a commis (ou rêvé de commettre ?), au long d'une vie très ordinairement remplie, cette centaine de meurtres perpétrés au moyen d'armes variées, simples ou sophistiquées suivant les cas, dans des mises en scènes baroques ou classiques, par souci de morale et de vertu le plus souvent, de justice toujours. Cioran aimait à dire qu'il ne se souvenait pas avoir vécu une journée de sa vie où ne lui fût pas venue au moins une fois, et généralement plusieurs, le désir d'occire un (ou plusieurs) représentants de cette tribu que l'on appelle l'humanité. Avait-il lu le petit livre de Max Aub ? Il n'est plus là pour nous le dire. L'eût-il fait qu'un vif sentiment d'envie n'eût pas manqué de l'étreindre, car le señor Aub n'y va pas de main morte, si l'on ose dire. De l'art d'assassiner son prochain (en y prenant plaisir). Un classique absolu de l'humour noir, par l'un des meilleurs écrivains espagnols du siècle.

Léa Sigismondi

a attribué 7/10 au livre

Crimes exemplaires

1957 • livre de Max Aub

Résumé : Il pourrait s'agir d'un (petit) volume de confessions. A la faveur d'une préface mi-figue mi-raisin, où mauvaise foi et sincérité confondent assez vertigineusement leurs rôles, l'auteur nous laisse croire que les « crimes » dont il est question dans son livre sont le fruit d'une longue enquête auprès des divers (et nombreux) assassins qu'il a pu croiser sur deux continents. Mais très vite l'on sent que ces actes irréparables, il les prend à son compte : oui, c'est bien lui qui a commis (ou rêvé de commettre ?), au long d'une vie très ordinairement remplie, cette centaine de meurtres perpétrés au moyen d'armes variées, simples ou sophistiquées suivant les cas, dans des mises en scènes baroques ou classiques, par souci de morale et de vertu le plus souvent, de justice toujours. Cioran aimait à dire qu'il ne se souvenait pas avoir vécu une journée de sa vie où ne lui fût pas venue au moins une fois, et généralement plusieurs, le désir d'occire un (ou plusieurs) représentants de cette tribu que l'on appelle l'humanité. Avait-il lu le petit livre de Max Aub ? Il n'est plus là pour nous le dire. L'eût-il fait qu'un vif sentiment d'envie n'eût pas manqué de l'étreindre, car le señor Aub n'y va pas de main morte, si l'on ose dire. De l'art d'assassiner son prochain (en y prenant plaisir). Un classique absolu de l'humour noir, par l'un des meilleurs écrivains espagnols du siècle.

Elisa Sushi

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LUS EN 2022

Crimes exemplaires

1957 • livre de Max Aub

Résumé : Il pourrait s'agir d'un (petit) volume de confessions. A la faveur d'une préface mi-figue mi-raisin, où mauvaise foi et sincérité confondent assez vertigineusement leurs rôles, l'auteur nous laisse croire que les « crimes » dont il est question dans son livre sont le fruit d'une longue enquête auprès des divers (et nombreux) assassins qu'il a pu croiser sur deux continents. Mais très vite l'on sent que ces actes irréparables, il les prend à son compte : oui, c'est bien lui qui a commis (ou rêvé de commettre ?), au long d'une vie très ordinairement remplie, cette centaine de meurtres perpétrés au moyen d'armes variées, simples ou sophistiquées suivant les cas, dans des mises en scènes baroques ou classiques, par souci de morale et de vertu le plus souvent, de justice toujours. Cioran aimait à dire qu'il ne se souvenait pas avoir vécu une journée de sa vie où ne lui fût pas venue au moins une fois, et généralement plusieurs, le désir d'occire un (ou plusieurs) représentants de cette tribu que l'on appelle l'humanité. Avait-il lu le petit livre de Max Aub ? Il n'est plus là pour nous le dire. L'eût-il fait qu'un vif sentiment d'envie n'eût pas manqué de l'étreindre, car le señor Aub n'y va pas de main morte, si l'on ose dire. De l'art d'assassiner son prochain (en y prenant plaisir). Un classique absolu de l'humour noir, par l'un des meilleurs écrivains espagnols du siècle.

Secede

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Warguerite

a attribué 8/10 au livre

Crimes exemplaires

1957 • livre de Max Aub

Résumé : Il pourrait s'agir d'un (petit) volume de confessions. A la faveur d'une préface mi-figue mi-raisin, où mauvaise foi et sincérité confondent assez vertigineusement leurs rôles, l'auteur nous laisse croire que les « crimes » dont il est question dans son livre sont le fruit d'une longue enquête auprès des divers (et nombreux) assassins qu'il a pu croiser sur deux continents. Mais très vite l'on sent que ces actes irréparables, il les prend à son compte : oui, c'est bien lui qui a commis (ou rêvé de commettre ?), au long d'une vie très ordinairement remplie, cette centaine de meurtres perpétrés au moyen d'armes variées, simples ou sophistiquées suivant les cas, dans des mises en scènes baroques ou classiques, par souci de morale et de vertu le plus souvent, de justice toujours. Cioran aimait à dire qu'il ne se souvenait pas avoir vécu une journée de sa vie où ne lui fût pas venue au moins une fois, et généralement plusieurs, le désir d'occire un (ou plusieurs) représentants de cette tribu que l'on appelle l'humanité. Avait-il lu le petit livre de Max Aub ? Il n'est plus là pour nous le dire. L'eût-il fait qu'un vif sentiment d'envie n'eût pas manqué de l'étreindre, car le señor Aub n'y va pas de main morte, si l'on ose dire. De l'art d'assassiner son prochain (en y prenant plaisir). Un classique absolu de l'humour noir, par l'un des meilleurs écrivains espagnols du siècle.

julttp

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steka

a attribué 6/10 au livre

steka

amusant mais mineur tout de même.

Le 5 juin 2020

Zannah

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MDP

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Mortag

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Pr.  Malcolm

a attribué 7/10 au livre

Crimes exemplaires

1957 • livre de Max Aub

Résumé : Il pourrait s'agir d'un (petit) volume de confessions. A la faveur d'une préface mi-figue mi-raisin, où mauvaise foi et sincérité confondent assez vertigineusement leurs rôles, l'auteur nous laisse croire que les « crimes » dont il est question dans son livre sont le fruit d'une longue enquête auprès des divers (et nombreux) assassins qu'il a pu croiser sur deux continents. Mais très vite l'on sent que ces actes irréparables, il les prend à son compte : oui, c'est bien lui qui a commis (ou rêvé de commettre ?), au long d'une vie très ordinairement remplie, cette centaine de meurtres perpétrés au moyen d'armes variées, simples ou sophistiquées suivant les cas, dans des mises en scènes baroques ou classiques, par souci de morale et de vertu le plus souvent, de justice toujours. Cioran aimait à dire qu'il ne se souvenait pas avoir vécu une journée de sa vie où ne lui fût pas venue au moins une fois, et généralement plusieurs, le désir d'occire un (ou plusieurs) représentants de cette tribu que l'on appelle l'humanité. Avait-il lu le petit livre de Max Aub ? Il n'est plus là pour nous le dire. L'eût-il fait qu'un vif sentiment d'envie n'eût pas manqué de l'étreindre, car le señor Aub n'y va pas de main morte, si l'on ose dire. De l'art d'assassiner son prochain (en y prenant plaisir). Un classique absolu de l'humour noir, par l'un des meilleurs écrivains espagnols du siècle.

XamolThorpedo

a attribué 8/10 au livre

Crimes exemplaires

1957 • livre de Max Aub

Résumé : Il pourrait s'agir d'un (petit) volume de confessions. A la faveur d'une préface mi-figue mi-raisin, où mauvaise foi et sincérité confondent assez vertigineusement leurs rôles, l'auteur nous laisse croire que les « crimes » dont il est question dans son livre sont le fruit d'une longue enquête auprès des divers (et nombreux) assassins qu'il a pu croiser sur deux continents. Mais très vite l'on sent que ces actes irréparables, il les prend à son compte : oui, c'est bien lui qui a commis (ou rêvé de commettre ?), au long d'une vie très ordinairement remplie, cette centaine de meurtres perpétrés au moyen d'armes variées, simples ou sophistiquées suivant les cas, dans des mises en scènes baroques ou classiques, par souci de morale et de vertu le plus souvent, de justice toujours. Cioran aimait à dire qu'il ne se souvenait pas avoir vécu une journée de sa vie où ne lui fût pas venue au moins une fois, et généralement plusieurs, le désir d'occire un (ou plusieurs) représentants de cette tribu que l'on appelle l'humanité. Avait-il lu le petit livre de Max Aub ? Il n'est plus là pour nous le dire. L'eût-il fait qu'un vif sentiment d'envie n'eût pas manqué de l'étreindre, car le señor Aub n'y va pas de main morte, si l'on ose dire. De l'art d'assassiner son prochain (en y prenant plaisir). Un classique absolu de l'humour noir, par l'un des meilleurs écrivains espagnols du siècle.