Dans les bois éternels par Ferreol
J'ai entendu dire que c'était bien. Je l'ai acheté au supermarché (!), quelque part en automne, et puis, je l'ai ouvert en décembre. Et fini mi-janvier. Double !, pour un polar (?), ce n'est pas banal.
L'accumulation de loufoque partout, partout, sans qu'elle soit très fine par ailleurs, m'a fait soupirer plus d'une fois. (Saviez-vous qu'un chat obèse pouvait courir plusieurs dizaines de kilomètres ?)
Ça me fait l'effet que si l'on gratte, même doucement, le vernis s'en va assez vite. Et puis alors ça m'énerve, vraiment je crois, donner de la profondeur en déguisant le personnage d'attraits sensationnels (paradoxaux - moches dans le commun mais si savoureux sur papier) ; dans le prochain, un hermaphrodite acrotomophile héroïnomane et Asperger en guise de foulard peut-être. Il y a comme un brouillard de tortues lentes ou d'écureuils tristes qui plane tranquillement dans les pages.
Et je n'ai pas compris la fin, entre deux partiels :(