Dans un premier temps, je tiens remercier les éditions Albin Michel pour ce partenariat.
Chaque année, l’arrivée de l’automne est synonyme de la sortie d’un nouveau roman de Bernard Werber.
Et c’est sans grande surprise, mais avec beaucoup de bonheur que début octobre, lorsque les feuilles commencent à tomber des arbres que fleurissent dans nos librairies le petit bijou que nous a concocté Bernard Werber durant l’année écoulée.
Ouais ! Ok, là, je ne sais pas pourquoi je suis parti sur le thème de l’automne, car au final, le dernier roman de Bernard Weber n’a rien à voir avec les saisons… Bref, revenons à ce qui nous intéresse, c’est-à-dire « Depuis l’au-delà » de Bernard Werber. (que certains lecteurs / blogueurs nomment par son prénom, comme s’ils passaient leur matinée à boire des cafés avec lui lorsqu’il écrit ses romans tranquillement installé à un café)… Pourquoi je vous dis ça moi ???
Avec son nouveau roman, Bernard Werber renoue avec l’Encyclopédie du Savoir Relatif et Absolue, on retrouve également dans cette nouvelle enquête la famille Wells avec Gabriel Wells écrivain de roman à suspens qui meurt assassiné. Après sa mort, ce dernier n’a qu’une obsession : savoir qui a bien pu l’assassiner et pourquoi ? Pour mener son enquête, il sera aidé par Lucy Filipini médium de profession, qui elle cherche désespérément son premier amour. C’est ainsi que commence une double enquête, trouver l’assassin de Gabriel Wells et retrouver Samy Daoudi l’amoureux disparu de Lucy Filipini.
Avec ce nouveau roman, on retrouve la marque Bernard Werber, une histoire passionnante et pleine de suspens entrecoupé par des extraits de l’Encyclopédie du Savoir Relatif et Absolu. Ou comment apprendre de nouvelles choses sans s’en rendre vraiment compte.
Bernard Werber en profite pour régler ses comptes avec les critiques littéraire qui ne considère toujours pas Bernard Werber et la science-fiction et suspens comme un genre littéraire à part entière.
Jean Moisi est la caricature que l’auteur fait de ce petit monde pseudo-intello du monde des critiques littéraire, qui adulé par la critique son cependant incapable de vendre un livre.
En cela je rejoins Bernard Werber, la littérature n’est pas et ne doit pas être l’apanage d’une élite pseudo-intellectuelle. La preuve en ai, la France est l’un des pays où il se lit le plus et surtout depuis quelques années grâce au livre numérique, les jeunes sont de plus en plus attiré par la littérature. Il n’y a pas de bonne ou mauvaise littérature, mais des genres différents. Et du Young Adult peut attirer de nouveaux lecteurs dans une librairie, moi, je dis pourquoi pas.
Pour conclure, je dirais que j’ai passé un très bon moment de lecture. Depuis 1991 avec la sortie des fourmis, je ne me suis jamais perdu un roman de Bernard Werber. Et cette année, « Depuis l’au-delà est un très bon cru, que je vous invite à découvrir.
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