Finir ces 160 pages les larmes au yeux, c'est le signe d'un livre qui nous a pris aux tripes.
160 pages qui définissent de manière judicieuse (et un petit peu caricaturale) une dizaine de personnages haut en couleur, du grand beta Lennie au petit malin George en passant par le furibond Curley.
Ces 160 pages se dévorent avec plaisir et avec l'espoir secret tout au long du livre que le rêve va se réaliser. Pourtant les indices du malheur ne sont jamais bien loin :
La multitude d'animaux mort par les brutales caresses de Lennie, la scène de la mort du chien de Candy, la description de l'ancienne bêtise de Lennie...
Bref, un triste plaisir que je recommande avec joie !