Ayant lu presque tout Arnaldur (Indriðason), ma compagne m'a offert ce livre pour Noël, un nouvel auteur Islandais à découvrir donc.
Page 147 sur 350 : il👏vient👏de👏se👏passer👏 quelque 👏 chose.👏Enfin !👏
Bon je ne prends pas en compte les flashs (forward, backward, parallelward, on ne le sait pas encore).
Structure classique donc, une histoire principale et une seconde, au lance pierre, en parallèle. Celui qui lit est supposé faire des suppositions sur ce qui lie c'est deux affaires.
Ici impossible. Sur le fil principal, le gros trait, il ne se passe RIEN.
Peut-être ce récit se veut-il a l'image du hameau perdu où il se déroule, un hameau où il ne se passe (supposément) rien. Mais, même si ils sont invoqués, il manque la description des paysages, des lumières, des saisons, tout ce qui pourrait faire l'attrait de ce coin perdu, de cette lecture.
Enfin, la fâcheuse tendance de l'auteur à commencer chaque paragraphe par le résumé du précédent est des plus irritante. On a l'impression de voir un épisode d'une série/émission de réparation de vieille bagnole/... américaine quelconque formatée pour la coupure pub toute les dix minutes.