Honnêtement, je suis assez bluffée par Ariel Holzl qui, à chaque tome de la trilogie, ne se contente pas de changer de point de vue, mais change aussi de style, s’adaptant au personnage principal. Alors que le ton était cinglant dans le tome de la sociopathe Tristabelle, on est ici dans un schéma plus enfantin, plus doux, adapté à la petite Dolorine. Aussi, ce troisième opus apparaît comme étant plus jeunesse, tant de le style que dans l’histoire qui est moins alambiquée (alambiqué ça veut dire que ça fait de l’alcool?), mais également plus fantasque. Quel talent! On retrouve bien évidemment l’univers sombre et décalé que j’aime tant, bien que l’action se situe principalement hors de Grisaille dans le pensionnat de la jeune fille (un coin paumé très très lugubre). Surtout qu’avec l’innocence (ou insouciance) de Dolorine, tout [...]
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