J'avais lu le début du cycle au collège et m'étais arrêté, faute de budget (et parce que le CDI avait pas la suite) puis j'ai du la reprendre une paire de fois sans jamais arriver à la fin.
J'ai racheté le début et on m'a offert la fin, ce qui fut une occasion de m'y remettre et là, grosse déception.
Je me rappelle pas comment j'ai pu autant admirer ce cycle, parce que je sais pas si c'est du à l'auteur ou à la traduction mais malgré une imagination sans limite de Herbert, l'histoire est un peu pompeuse, le style limite caricatural sans compter les bonne vieilles caricatures "les homos sont obèses et méchants, les gentils sont beaux et loyaux".
Ceci dit en relisant un peu, je passe un bon moment ce qui est l'important dans un bouquin de SF, qui reste tout de même une inspiration majeure dans cet univers, notamment pour Starwars avec le cycle de Fondation.
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