Récit bercé de souvenirs parfois faisant penser à de simples illusions. Grande attention du détail au récit, caractérisé par le style de Sarraute, qui m'impressionne du fait de l'âge avancé lors de l'écriture. Une écriture extrêmement simple à comprendre, rappelant celle de Perec, mais dans une portée au détail du non-dit que je ne comprendrai peut-être jamais en entièreté. Frustration, lors du lien avec l'autrice et narratrice (les deux voix) et les autres membres de sa famille qui semble ignorer le potentiel tangible, de cette jeune Tachok ou Natasha Ilinitchna Tcherniak.