L'actualité sur Essai sur les femmes
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Über die Weiber
1851 • livre de Arthur Schopenhauer
Résumé : "Leur destinée. - Beauté passagère. - Précocité, limites de leur intelligence [...]. Le seul aspect de la femme révèle qu'elle n'est destinée ni aux grands travaux de l'intelligence, ni aux grands travaux matériels [...]. Ce qui rend les femmes particulièrement aptes à soigner, à élever notre première enfance, c'est qu'elles restent elles-mêmes puériles, futiles et bornées ; elles demeurent toute leur vie de grands enfants, une sorte d'intermédiaire entre l'enfant et l'homme [...]. Ce qui distingue l'homme de l'animal c'est la raison ; confiné dans le présent, il se reporte vers le passé et songe à l'avenir : de là sa prudence, ses soucis, ses appréhensions fréquentes. La raison débile de la femme ne participe ni à ces avantages, ni à ces inconvénients ; elle est affligée d'une myopie intellectuelle qui lui permet, par une sorte d'intuition, de voir d'une façon pénétrante les choses prochaines ; mais son horizon est borné, ce qui est lointain lui échappe."
Über die Weiber
1851 • livre de Arthur Schopenhauer
Résumé : "Leur destinée. - Beauté passagère. - Précocité, limites de leur intelligence [...]. Le seul aspect de la femme révèle qu'elle n'est destinée ni aux grands travaux de l'intelligence, ni aux grands travaux matériels [...]. Ce qui rend les femmes particulièrement aptes à soigner, à élever notre première enfance, c'est qu'elles restent elles-mêmes puériles, futiles et bornées ; elles demeurent toute leur vie de grands enfants, une sorte d'intermédiaire entre l'enfant et l'homme [...]. Ce qui distingue l'homme de l'animal c'est la raison ; confiné dans le présent, il se reporte vers le passé et songe à l'avenir : de là sa prudence, ses soucis, ses appréhensions fréquentes. La raison débile de la femme ne participe ni à ces avantages, ni à ces inconvénients ; elle est affligée d'une myopie intellectuelle qui lui permet, par une sorte d'intuition, de voir d'une façon pénétrante les choses prochaines ; mais son horizon est borné, ce qui est lointain lui échappe."
Des faits qui font sens dans leur contexte... Mais trop d'aberrations dans cette thèse. Intéressant malgré tout, pour se faire une idée
Le 9 oct. 2024
Über die Weiber
1851 • livre de Arthur Schopenhauer
Résumé : "Leur destinée. - Beauté passagère. - Précocité, limites de leur intelligence [...]. Le seul aspect de la femme révèle qu'elle n'est destinée ni aux grands travaux de l'intelligence, ni aux grands travaux matériels [...]. Ce qui rend les femmes particulièrement aptes à soigner, à élever notre première enfance, c'est qu'elles restent elles-mêmes puériles, futiles et bornées ; elles demeurent toute leur vie de grands enfants, une sorte d'intermédiaire entre l'enfant et l'homme [...]. Ce qui distingue l'homme de l'animal c'est la raison ; confiné dans le présent, il se reporte vers le passé et songe à l'avenir : de là sa prudence, ses soucis, ses appréhensions fréquentes. La raison débile de la femme ne participe ni à ces avantages, ni à ces inconvénients ; elle est affligée d'une myopie intellectuelle qui lui permet, par une sorte d'intuition, de voir d'une façon pénétrante les choses prochaines ; mais son horizon est borné, ce qui est lointain lui échappe."
Je vais bientôt noter les livres sur SC, mais voilà je ne laisse aucun suspense sur Schopenhauer, c'est goulag.
Le 5 sept. 2024
a apprécié
du livre
écrite par
Über die Weiber
1851 • livre de Arthur Schopenhauer
Résumé : "Leur destinée. - Beauté passagère. - Précocité, limites de leur intelligence [...]. Le seul aspect de la femme révèle qu'elle n'est destinée ni aux grands travaux de l'intelligence, ni aux grands travaux matériels [...]. Ce qui rend les femmes particulièrement aptes à soigner, à élever notre première enfance, c'est qu'elles restent elles-mêmes puériles, futiles et bornées ; elles demeurent toute leur vie de grands enfants, une sorte d'intermédiaire entre l'enfant et l'homme [...]. Ce qui distingue l'homme de l'animal c'est la raison ; confiné dans le présent, il se reporte vers le passé et songe à l'avenir : de là sa prudence, ses soucis, ses appréhensions fréquentes. La raison débile de la femme ne participe ni à ces avantages, ni à ces inconvénients ; elle est affligée d'une myopie intellectuelle qui lui permet, par une sorte d'intuition, de voir d'une façon pénétrante les choses prochaines ; mais son horizon est borné, ce qui est lointain lui échappe."
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1851 • livre de Arthur Schopenhauer
Résumé : "Leur destinée. - Beauté passagère. - Précocité, limites de leur intelligence [...]. Le seul aspect de la femme révèle qu'elle n'est destinée ni aux grands travaux de l'intelligence, ni aux grands travaux matériels [...]. Ce qui rend les femmes particulièrement aptes à soigner, à élever notre première enfance, c'est qu'elles restent elles-mêmes puériles, futiles et bornées ; elles demeurent toute leur vie de grands enfants, une sorte d'intermédiaire entre l'enfant et l'homme [...]. Ce qui distingue l'homme de l'animal c'est la raison ; confiné dans le présent, il se reporte vers le passé et songe à l'avenir : de là sa prudence, ses soucis, ses appréhensions fréquentes. La raison débile de la femme ne participe ni à ces avantages, ni à ces inconvénients ; elle est affligée d'une myopie intellectuelle qui lui permet, par une sorte d'intuition, de voir d'une façon pénétrante les choses prochaines ; mais son horizon est borné, ce qui est lointain lui échappe."
Le 3 août 2024
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Über die Weiber
1851 • livre de Arthur Schopenhauer
Résumé : "Leur destinée. - Beauté passagère. - Précocité, limites de leur intelligence [...]. Le seul aspect de la femme révèle qu'elle n'est destinée ni aux grands travaux de l'intelligence, ni aux grands travaux matériels [...]. Ce qui rend les femmes particulièrement aptes à soigner, à élever notre première enfance, c'est qu'elles restent elles-mêmes puériles, futiles et bornées ; elles demeurent toute leur vie de grands enfants, une sorte d'intermédiaire entre l'enfant et l'homme [...]. Ce qui distingue l'homme de l'animal c'est la raison ; confiné dans le présent, il se reporte vers le passé et songe à l'avenir : de là sa prudence, ses soucis, ses appréhensions fréquentes. La raison débile de la femme ne participe ni à ces avantages, ni à ces inconvénients ; elle est affligée d'une myopie intellectuelle qui lui permet, par une sorte d'intuition, de voir d'une façon pénétrante les choses prochaines ; mais son horizon est borné, ce qui est lointain lui échappe."
Über die Weiber
1851 • livre de Arthur Schopenhauer
Résumé : "Leur destinée. - Beauté passagère. - Précocité, limites de leur intelligence [...]. Le seul aspect de la femme révèle qu'elle n'est destinée ni aux grands travaux de l'intelligence, ni aux grands travaux matériels [...]. Ce qui rend les femmes particulièrement aptes à soigner, à élever notre première enfance, c'est qu'elles restent elles-mêmes puériles, futiles et bornées ; elles demeurent toute leur vie de grands enfants, une sorte d'intermédiaire entre l'enfant et l'homme [...]. Ce qui distingue l'homme de l'animal c'est la raison ; confiné dans le présent, il se reporte vers le passé et songe à l'avenir : de là sa prudence, ses soucis, ses appréhensions fréquentes. La raison débile de la femme ne participe ni à ces avantages, ni à ces inconvénients ; elle est affligée d'une myopie intellectuelle qui lui permet, par une sorte d'intuition, de voir d'une façon pénétrante les choses prochaines ; mais son horizon est borné, ce qui est lointain lui échappe."
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1851 • livre de Arthur Schopenhauer
Résumé : "Leur destinée. - Beauté passagère. - Précocité, limites de leur intelligence [...]. Le seul aspect de la femme révèle qu'elle n'est destinée ni aux grands travaux de l'intelligence, ni aux grands travaux matériels [...]. Ce qui rend les femmes particulièrement aptes à soigner, à élever notre première enfance, c'est qu'elles restent elles-mêmes puériles, futiles et bornées ; elles demeurent toute leur vie de grands enfants, une sorte d'intermédiaire entre l'enfant et l'homme [...]. Ce qui distingue l'homme de l'animal c'est la raison ; confiné dans le présent, il se reporte vers le passé et songe à l'avenir : de là sa prudence, ses soucis, ses appréhensions fréquentes. La raison débile de la femme ne participe ni à ces avantages, ni à ces inconvénients ; elle est affligée d'une myopie intellectuelle qui lui permet, par une sorte d'intuition, de voir d'une façon pénétrante les choses prochaines ; mais son horizon est borné, ce qui est lointain lui échappe."