Guillaume Musso met l'accent sur la superficialité de la femme du pompiste, qui souhaite un tatouage de serpent dans le bas du dos et se faire refaire les seins. Je crois que chacun de ses personnages souffre du même manque de nuance.
C'est le Dr Goodrich, et le mystère qui l'enveloppe, qui m'ont tenu. Mais finalement déçu de constater que leur développement ne créer qu'incohérence et facilité scénaristique.
L'histoire avance de cliché en cliché, et le dénouement final se devine à la moitié du livre.
Lecture sans prise de tête, agréable, à condition de ne pas trop chercher à comprendre.