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2000 • livre de Georges Didi-Huberman
Résumé : Cet ouvrage est le troisième d’une série d’essais sur la question du lieu dans l’art contemporain. Une hypothèse guide cette série : l’artiste est inventeur de lieux, c’est-à-dire façonne, donne chair à des espaces improbables, impossibles ou impensables. Des apories, des fables topiques. Le genre de lieux qu’invente Giuseppe Penone passe d’abord par un travail avec le contact : une dynamique de l’empreinte, par laquelle l’espace se trouve à la fois reporté et renversé, c’est-à-dire tacitement connu et mis sens dessus dessous. Dans un tel processus, c’est le matériau lui-même qui porte mémoire. Mais qu’est-ce qu’une sculpture qui aurait pour charge de toucher la pensée ? Penone est parti de la “ cécité tactile ” qui nous empêche de percevoir le contact de notre cerveau avec la face interne de notre crâne. L’œuvre consiste à faire traces – frottages, reports, développements – de cette insensible zone de contact. Le résultat est une sorte de fossile du cerveau : lieu de pensée, c’est-à-dire lieu pour se perdre et pour réfuter l’espace. Une sculpture de ce qui nous habite et nous incorpore en même temps.
2000 • livre de Georges Didi-Huberman
Résumé : Cet ouvrage est le troisième d’une série d’essais sur la question du lieu dans l’art contemporain. Une hypothèse guide cette série : l’artiste est inventeur de lieux, c’est-à-dire façonne, donne chair à des espaces improbables, impossibles ou impensables. Des apories, des fables topiques. Le genre de lieux qu’invente Giuseppe Penone passe d’abord par un travail avec le contact : une dynamique de l’empreinte, par laquelle l’espace se trouve à la fois reporté et renversé, c’est-à-dire tacitement connu et mis sens dessus dessous. Dans un tel processus, c’est le matériau lui-même qui porte mémoire. Mais qu’est-ce qu’une sculpture qui aurait pour charge de toucher la pensée ? Penone est parti de la “ cécité tactile ” qui nous empêche de percevoir le contact de notre cerveau avec la face interne de notre crâne. L’œuvre consiste à faire traces – frottages, reports, développements – de cette insensible zone de contact. Le résultat est une sorte de fossile du cerveau : lieu de pensée, c’est-à-dire lieu pour se perdre et pour réfuter l’espace. Une sculpture de ce qui nous habite et nous incorpore en même temps.
2000 • livre de Georges Didi-Huberman
Résumé : Cet ouvrage est le troisième d’une série d’essais sur la question du lieu dans l’art contemporain. Une hypothèse guide cette série : l’artiste est inventeur de lieux, c’est-à-dire façonne, donne chair à des espaces improbables, impossibles ou impensables. Des apories, des fables topiques. Le genre de lieux qu’invente Giuseppe Penone passe d’abord par un travail avec le contact : une dynamique de l’empreinte, par laquelle l’espace se trouve à la fois reporté et renversé, c’est-à-dire tacitement connu et mis sens dessus dessous. Dans un tel processus, c’est le matériau lui-même qui porte mémoire. Mais qu’est-ce qu’une sculpture qui aurait pour charge de toucher la pensée ? Penone est parti de la “ cécité tactile ” qui nous empêche de percevoir le contact de notre cerveau avec la face interne de notre crâne. L’œuvre consiste à faire traces – frottages, reports, développements – de cette insensible zone de contact. Le résultat est une sorte de fossile du cerveau : lieu de pensée, c’est-à-dire lieu pour se perdre et pour réfuter l’espace. Une sculpture de ce qui nous habite et nous incorpore en même temps.
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Résumé : Cet ouvrage est le troisième d’une série d’essais sur la question du lieu dans l’art contemporain. Une hypothèse guide cette série : l’artiste est inventeur de lieux, c’est-à-dire façonne, donne chair à des espaces improbables, impossibles ou impensables. Des apories, des fables topiques. Le genre de lieux qu’invente Giuseppe Penone passe d’abord par un travail avec le contact : une dynamique de l’empreinte, par laquelle l’espace se trouve à la fois reporté et renversé, c’est-à-dire tacitement connu et mis sens dessus dessous. Dans un tel processus, c’est le matériau lui-même qui porte mémoire. Mais qu’est-ce qu’une sculpture qui aurait pour charge de toucher la pensée ? Penone est parti de la “ cécité tactile ” qui nous empêche de percevoir le contact de notre cerveau avec la face interne de notre crâne. L’œuvre consiste à faire traces – frottages, reports, développements – de cette insensible zone de contact. Le résultat est une sorte de fossile du cerveau : lieu de pensée, c’est-à-dire lieu pour se perdre et pour réfuter l’espace. Une sculpture de ce qui nous habite et nous incorpore en même temps.
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Résumé : Cet ouvrage est le troisième d’une série d’essais sur la question du lieu dans l’art contemporain. Une hypothèse guide cette série : l’artiste est inventeur de lieux, c’est-à-dire façonne, donne chair à des espaces improbables, impossibles ou impensables. Des apories, des fables topiques. Le genre de lieux qu’invente Giuseppe Penone passe d’abord par un travail avec le contact : une dynamique de l’empreinte, par laquelle l’espace se trouve à la fois reporté et renversé, c’est-à-dire tacitement connu et mis sens dessus dessous. Dans un tel processus, c’est le matériau lui-même qui porte mémoire. Mais qu’est-ce qu’une sculpture qui aurait pour charge de toucher la pensée ? Penone est parti de la “ cécité tactile ” qui nous empêche de percevoir le contact de notre cerveau avec la face interne de notre crâne. L’œuvre consiste à faire traces – frottages, reports, développements – de cette insensible zone de contact. Le résultat est une sorte de fossile du cerveau : lieu de pensée, c’est-à-dire lieu pour se perdre et pour réfuter l’espace. Une sculpture de ce qui nous habite et nous incorpore en même temps.
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