L'actualité sur Féroces

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tarapeel

a attribué 9/10 au livre

Féroces

The End of the World As We Know It: Scenes from a Life

livre de Robert Goolrick

Résumé : Les Goolrick étaient des princes. Et tout le monde voulait leur ressembler. C'étaient les années 50, les femmes se faisaient des coiffures sophistiquées, elles portaient des robes de taffetas ou de soie, des gants et des chapeaux, et elles avaient de l'esprit. Les hommes préparaient des cocktails, des Gimlet, des Manhattan, des Gibson, des Singapore Sling, c'était la seule chose qu'ils prenaient au sérieux. Dans cette petite ville de Virginie, on avait vraiment de la classe, d'ailleurs on trouvait son style en lisant le New Yorker. Chez les Goolrick, il y avait trois enfants, tous brillants. Et une seule loi : on ne parle jamais à l'extérieur de ce qui se passe à la maison. À la maison, il y avait des secrets. Les Goolrick étaient féroces. Comparé à William Styron et Flannery O'Connor, Robert Goolrick a crée avec son premier roman, Féroces, un De profundis sudiste, dans lequel un fils ne survit pas tout à fait aux crimes de son père, même quand il piétine sa t

Romain

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fleurblanche234

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écrite par

CritiqueOne2

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écrite par

MargDebray

a attribué 5/10 au livre

MargDebray

a attribué 6/10 au livre

Ryosen77

a attribué 9/10 au livre

Féroces

The End of the World As We Know It: Scenes from a Life

livre de Robert Goolrick

Résumé : Les Goolrick étaient des princes. Et tout le monde voulait leur ressembler. C'étaient les années 50, les femmes se faisaient des coiffures sophistiquées, elles portaient des robes de taffetas ou de soie, des gants et des chapeaux, et elles avaient de l'esprit. Les hommes préparaient des cocktails, des Gimlet, des Manhattan, des Gibson, des Singapore Sling, c'était la seule chose qu'ils prenaient au sérieux. Dans cette petite ville de Virginie, on avait vraiment de la classe, d'ailleurs on trouvait son style en lisant le New Yorker. Chez les Goolrick, il y avait trois enfants, tous brillants. Et une seule loi : on ne parle jamais à l'extérieur de ce qui se passe à la maison. À la maison, il y avait des secrets. Les Goolrick étaient féroces. Comparé à William Styron et Flannery O'Connor, Robert Goolrick a crée avec son premier roman, Féroces, un De profundis sudiste, dans lequel un fils ne survit pas tout à fait aux crimes de son père, même quand il piétine sa t

annepo

a attribué 8/10 au livre

Féroces

The End of the World As We Know It: Scenes from a Life

livre de Robert Goolrick

Résumé : Les Goolrick étaient des princes. Et tout le monde voulait leur ressembler. C'étaient les années 50, les femmes se faisaient des coiffures sophistiquées, elles portaient des robes de taffetas ou de soie, des gants et des chapeaux, et elles avaient de l'esprit. Les hommes préparaient des cocktails, des Gimlet, des Manhattan, des Gibson, des Singapore Sling, c'était la seule chose qu'ils prenaient au sérieux. Dans cette petite ville de Virginie, on avait vraiment de la classe, d'ailleurs on trouvait son style en lisant le New Yorker. Chez les Goolrick, il y avait trois enfants, tous brillants. Et une seule loi : on ne parle jamais à l'extérieur de ce qui se passe à la maison. À la maison, il y avait des secrets. Les Goolrick étaient féroces. Comparé à William Styron et Flannery O'Connor, Robert Goolrick a crée avec son premier roman, Féroces, un De profundis sudiste, dans lequel un fils ne survit pas tout à fait aux crimes de son père, même quand il piétine sa t

Riz-Do

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écrite par

Mustacchio

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_Loïs_

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écrite par

Aurea

Un IMMENSE MERCI @Loïs !:-)

Le 27 avr. 2023

_Loïs_

Avec plaisir :)))

Le 30 avr. 2023

Lionel Bonhouvrier

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Aurea

Très puissant et dur ce livre ; un véritable auteur que Goolrick!:-)

Le 15 mars 2023

theobaldpelimart

a attribué 7/10 au livre

Féroces

The End of the World As We Know It: Scenes from a Life

livre de Robert Goolrick

Résumé : Les Goolrick étaient des princes. Et tout le monde voulait leur ressembler. C'étaient les années 50, les femmes se faisaient des coiffures sophistiquées, elles portaient des robes de taffetas ou de soie, des gants et des chapeaux, et elles avaient de l'esprit. Les hommes préparaient des cocktails, des Gimlet, des Manhattan, des Gibson, des Singapore Sling, c'était la seule chose qu'ils prenaient au sérieux. Dans cette petite ville de Virginie, on avait vraiment de la classe, d'ailleurs on trouvait son style en lisant le New Yorker. Chez les Goolrick, il y avait trois enfants, tous brillants. Et une seule loi : on ne parle jamais à l'extérieur de ce qui se passe à la maison. À la maison, il y avait des secrets. Les Goolrick étaient féroces. Comparé à William Styron et Flannery O'Connor, Robert Goolrick a crée avec son premier roman, Féroces, un De profundis sudiste, dans lequel un fils ne survit pas tout à fait aux crimes de son père, même quand il piétine sa t

Cecile24

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amrbis

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nouay68

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du livre

écrite par

Audrey Sautejeau

a attribué 10/10 au livre

Féroces

The End of the World As We Know It: Scenes from a Life

livre de Robert Goolrick

Résumé : Les Goolrick étaient des princes. Et tout le monde voulait leur ressembler. C'étaient les années 50, les femmes se faisaient des coiffures sophistiquées, elles portaient des robes de taffetas ou de soie, des gants et des chapeaux, et elles avaient de l'esprit. Les hommes préparaient des cocktails, des Gimlet, des Manhattan, des Gibson, des Singapore Sling, c'était la seule chose qu'ils prenaient au sérieux. Dans cette petite ville de Virginie, on avait vraiment de la classe, d'ailleurs on trouvait son style en lisant le New Yorker. Chez les Goolrick, il y avait trois enfants, tous brillants. Et une seule loi : on ne parle jamais à l'extérieur de ce qui se passe à la maison. À la maison, il y avait des secrets. Les Goolrick étaient féroces. Comparé à William Styron et Flannery O'Connor, Robert Goolrick a crée avec son premier roman, Féroces, un De profundis sudiste, dans lequel un fils ne survit pas tout à fait aux crimes de son père, même quand il piétine sa t

Mélissa Babin

a attribué 8/10 au livre

Féroces

The End of the World As We Know It: Scenes from a Life

livre de Robert Goolrick

Résumé : Les Goolrick étaient des princes. Et tout le monde voulait leur ressembler. C'étaient les années 50, les femmes se faisaient des coiffures sophistiquées, elles portaient des robes de taffetas ou de soie, des gants et des chapeaux, et elles avaient de l'esprit. Les hommes préparaient des cocktails, des Gimlet, des Manhattan, des Gibson, des Singapore Sling, c'était la seule chose qu'ils prenaient au sérieux. Dans cette petite ville de Virginie, on avait vraiment de la classe, d'ailleurs on trouvait son style en lisant le New Yorker. Chez les Goolrick, il y avait trois enfants, tous brillants. Et une seule loi : on ne parle jamais à l'extérieur de ce qui se passe à la maison. À la maison, il y avait des secrets. Les Goolrick étaient féroces. Comparé à William Styron et Flannery O'Connor, Robert Goolrick a crée avec son premier roman, Féroces, un De profundis sudiste, dans lequel un fils ne survit pas tout à fait aux crimes de son père, même quand il piétine sa t

Orpheus Jay

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paulineniluap

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MC-Lucas

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Résumé : Les Goolrick étaient des princes. Et tout le monde voulait leur ressembler. C'étaient les années 50, les femmes se faisaient des coiffures sophistiquées, elles portaient des robes de taffetas ou de soie, des gants et des chapeaux, et elles avaient de l'esprit. Les hommes préparaient des cocktails, des Gimlet, des Manhattan, des Gibson, des Singapore Sling, c'était la seule chose qu'ils prenaient au sérieux. Dans cette petite ville de Virginie, on avait vraiment de la classe, d'ailleurs on trouvait son style en lisant le New Yorker. Chez les Goolrick, il y avait trois enfants, tous brillants. Et une seule loi : on ne parle jamais à l'extérieur de ce qui se passe à la maison. À la maison, il y avait des secrets. Les Goolrick étaient féroces. Comparé à William Styron et Flannery O'Connor, Robert Goolrick a crée avec son premier roman, Féroces, un De profundis sudiste, dans lequel un fils ne survit pas tout à fait aux crimes de son père, même quand il piétine sa t

abscondita

a apprécié

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du livre

écrite par

Le 1 mai 2022

1 j'aime

1

Aurea

Merci à toi!:-)

Le 1 mai 2022

jokjoy

a envie de lire le livre

ngc111

a apprécié

une critique

du livre

écrite par

Aurea

Merci @ng!:-)

Le 4 avr. 2022

ngc111

De rien... et j'ai commencé la série doc Les grands mythes sur Amazon grâce à toi. Merci !

Le 4 avr. 2022

Aurea

Oui, j'ai vu! J'espère qu'elle va te plaire autant qu'à moi ! ^^

Le 4 avr. 2022

r2phl

a envie de lire le livre

Aurea

Un livre beau mais très dur...

Le 4 avr. 2022

Olegele

a attribué 7/10 au livre

Féroces

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livre de Robert Goolrick

Résumé : Les Goolrick étaient des princes. Et tout le monde voulait leur ressembler. C'étaient les années 50, les femmes se faisaient des coiffures sophistiquées, elles portaient des robes de taffetas ou de soie, des gants et des chapeaux, et elles avaient de l'esprit. Les hommes préparaient des cocktails, des Gimlet, des Manhattan, des Gibson, des Singapore Sling, c'était la seule chose qu'ils prenaient au sérieux. Dans cette petite ville de Virginie, on avait vraiment de la classe, d'ailleurs on trouvait son style en lisant le New Yorker. Chez les Goolrick, il y avait trois enfants, tous brillants. Et une seule loi : on ne parle jamais à l'extérieur de ce qui se passe à la maison. À la maison, il y avait des secrets. Les Goolrick étaient féroces. Comparé à William Styron et Flannery O'Connor, Robert Goolrick a crée avec son premier roman, Féroces, un De profundis sudiste, dans lequel un fils ne survit pas tout à fait aux crimes de son père, même quand il piétine sa t

Olegele

a attribué 8/10 au livre

Féroces

The End of the World As We Know It: Scenes from a Life

livre de Robert Goolrick

Résumé : Les Goolrick étaient des princes. Et tout le monde voulait leur ressembler. C'étaient les années 50, les femmes se faisaient des coiffures sophistiquées, elles portaient des robes de taffetas ou de soie, des gants et des chapeaux, et elles avaient de l'esprit. Les hommes préparaient des cocktails, des Gimlet, des Manhattan, des Gibson, des Singapore Sling, c'était la seule chose qu'ils prenaient au sérieux. Dans cette petite ville de Virginie, on avait vraiment de la classe, d'ailleurs on trouvait son style en lisant le New Yorker. Chez les Goolrick, il y avait trois enfants, tous brillants. Et une seule loi : on ne parle jamais à l'extérieur de ce qui se passe à la maison. À la maison, il y avait des secrets. Les Goolrick étaient féroces. Comparé à William Styron et Flannery O'Connor, Robert Goolrick a crée avec son premier roman, Féroces, un De profundis sudiste, dans lequel un fils ne survit pas tout à fait aux crimes de son père, même quand il piétine sa t

Olegele

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Csar Ddck

a attribué 9/10 au livre

Féroces

The End of the World As We Know It: Scenes from a Life

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Résumé : Les Goolrick étaient des princes. Et tout le monde voulait leur ressembler. C'étaient les années 50, les femmes se faisaient des coiffures sophistiquées, elles portaient des robes de taffetas ou de soie, des gants et des chapeaux, et elles avaient de l'esprit. Les hommes préparaient des cocktails, des Gimlet, des Manhattan, des Gibson, des Singapore Sling, c'était la seule chose qu'ils prenaient au sérieux. Dans cette petite ville de Virginie, on avait vraiment de la classe, d'ailleurs on trouvait son style en lisant le New Yorker. Chez les Goolrick, il y avait trois enfants, tous brillants. Et une seule loi : on ne parle jamais à l'extérieur de ce qui se passe à la maison. À la maison, il y avait des secrets. Les Goolrick étaient féroces. Comparé à William Styron et Flannery O'Connor, Robert Goolrick a crée avec son premier roman, Féroces, un De profundis sudiste, dans lequel un fils ne survit pas tout à fait aux crimes de son père, même quand il piétine sa t

Budokick

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du livre

écrite par

Aurea

Merci @Budo : un film glaçant !

Le 7 sept. 2021

Budokick

@Aurea le livre ou le film ? :-)

Le 7 sept. 2021

Aurea

@Budo Oh pardon pas de film! Le livre de Goolrick bien sûr!:-)

Le 7 sept. 2021