Dans un premier temps, je tiens à remercier les éditions Albin Michel pour ce partenariat.
Avec Stephen King, c’est une grande histoire d’Amour qui nous unies. Avec des hauts et des bas, plus souvent des hauts que des bas, cette trilogie qui inclut Mr Mercedes, Carnets Noirs et enfin Fin de Ronde, était avant ce troisième opus dans la vague descendante. Mais avec Fin de Ronde, nous avons retrouvé Le Stephen King, le maître de l’horreur comme il était avant à l’époque de Carrie ou bien encore Charlie, une plongée dans le fantastique télékinésique sans cependant le côté horrifique qu’il sait si souvent nous offrir.
Avec ce troisième opus, j’ai relativement fait la paix avec les deux premiers qui ne m’ont pas forcément emballé, même s'il faut bien le reconnaitre le style de l’auteur en fait de très bon ouvrages, à condition d’aimer les polars à l’américaine.
Encore une fois, on retrouve la marque du maître : la critique de la société américaine. Ici, il s’attaque à internet plus précisément le pouvoir que peut exercer les réseaux sociaux.
Comme vous l’aurez compris ce roman n’est pas forcément un chef d’œuvre de Stephen King, mais d’une très bonne facture. Il serait sans aucun doute un très bon roman chez n’importe quel autre auteur.
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