GB 84
7.6
GB 84

livre de David Peace (2004)

Comme à son habitude, David Peace réussi à nous immerger dans son monde : celui de l'Angleterre des années Thatcher : froide, violente, où tous les coups sont permis. Une période ou le contexte économique, politique et social est marqué par de nombreuses privatisations et où les syndicats sont dans le collimateur du pouvoir.

Le sujet est parfaitement maîtrisé, et l'on a aucun mal à naviguer entre les différents personnages qui animent les différentes facettes d'une même histoire. Les "récits de vie" des mineurs en grève apportent un vrai plus et racontent l'histoire dans l'Histoire.

En bref, une plongée brutale et sans concession dans le sytème Thatcher et le monde du syndicalisme britannique, où "personne n'est qui il paraît être."

regish
8
Écrit par

Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur et l'a ajouté à sa liste

Créée

le 3 sept. 2011

Critique lue 302 fois

regish

Écrit par

Critique lue 302 fois

D'autres avis sur GB 84

GB 84
bilithys
5

"Chien mort de faim"

"Electricité... Lumière crue de station-service. Vendredi 13 janvier 1984... Elle porte une cigarette à ses lèvres, un briquet à sa cigarette. Chien mort de faim devant chez son maître... Il guette...

le 24 mars 2014

1 j'aime

GB 84
regish
8

1984 comme si on y était

Comme à son habitude, David Peace réussi à nous immerger dans son monde : celui de l'Angleterre des années Thatcher : froide, violente, où tous les coups sont permis. Une période ou le contexte...

le 3 sept. 2011

Du même critique

Lie to Me
regish
6

Jurez de dire la vérité...

Bon, pour faire simple : La saison 1 plutôt originale est assez intéressante. La saison 2, ça commence à tourner en rond (ça se répète vraiment souvent). La saison 3 ça sent le sapin, on voit un Cal...

le 4 oct. 2011

The Darwin Awards
regish
5

Mieux : le site

Un film pas vraiment réussi (pas du tout même), mais drôle à regarder avec une bande de potes. Les morts les plus stupides sont vraiment...très, très stupides, et c'est ce qui fait l'intérêt du film...

le 4 oct. 2011