Derrière l’ourse qui cajole et absorbe, le sombre et somptueux pouvoir de la métaphore.
Sur mon blog : http://charybde2.wordpress.com/2014/09/10/note-de-lecture-grande-ourse-romain-verger/
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le 10 sept. 2014
Dans son deuxième roman, paru en 2007 chez Quidam éditeur après le singulier et fantastique «Zones sensibles», Romain Verger met en parallèle et en correspondance le parcours de deux hommes que trente-cinq mille ans séparent.
Homme du paléolithique et l’un des tous premiers artistes, Arcas est resté seul dans sa caverne, les membres de son clan, sa femme, ses fils, ont tous disparu. Dehors, tout est figé sous la neige. Vide de nourriture et de désir, il est obligé de sortir de sa grotte dans un froid polaire pour trouver de quoi se nourrir. Marchant dans ce paysage blanc devenu minéral, enseveli sous la neige et la glace, il va se retrouver face à face avec une gigantesque ourse.
La suite sur mon blog ici :
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Créée
le 7 avr. 2013
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