Du cul dans la fantasy !
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J'ai donc repris tout récemment par la lecture des « vacances » (toutes relatives, mdr) de Gheritarish. Tome pendant lequel, j'avoue, Cellendhyl m'a pas mal manqué.
Du coup, c'était le bonheur de le retrouver dans ce tome. Parce que j'aime Cellendhyl de Cortavar, à peu près comme toutes les nanas qui le croisent, mdrrr !
L'écriture est toujours sympa (ces descriptions de combats, mais c'est juste pas croyable ! bon si vous n'aimez pas ça, passez votre chemin, lol), malgré parfois quelques maladresses dans la tournure de phrases ou l'emploi de certains adjectifs, mais vraiment rien de rédhibitoire, vu que je ne m'en souviens plus précisément là de suite, à part « un geste grandiloquent » mais a priori c'est moi qui bugge puisque la définition colle, (alors que pour moi c'est un adjectif uniquement lié au discours mais en fait non, lol).
Pour l'histoire, ça se tient, et drôlement bien, en fait, sur les développements et les ramifications. Je me demande à chaque fois si Michel sait bien où il va, mais ça reste cohérent, du coup on dirait bien que oui. Même si l'action ne démarre vraiment qu'à partir du moment où Cellendhyl et Constance partent pour Fort Courage. On sent le tome de transition, bien sûr, mais c'est une transition bien faite, bien amenée.
Et où Cellendhyl se retrouve dans une situation fichtrement merdouillifique à la fin… qui donne bien évidemment envie de sauter sur la suite.
Après il y a quelques petits moins qui agacent (légèrement), c'est la répétition de situations avec "les filles". Il a beau être un "romantique" dans l'âme, c'est quand même un sacré coeur d'artichaud ce Cellendhyl, lol ! Pi on a plus de scènes de sexe que dans mon souvenir des précédents (ou alors j'étais habituée et je me suis déshabituée, mdr !).
Créée
le 22 avr. 2017
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