« Hadès Palace » de Francis Berthelot paru aux Editions Le Bélial.
Maxime Albeiga est une jeune artiste, mime et contorsionniste, très prometteur. Il se produit dans un petit cabaret parisien quand il est contacté par un impresario de l’Hadès Palace. Ce lieu à la réputation de n’engager que la crème des artistes, aussi se laisse t’il tenter par cette proposition.
A peine arrivé dans les luxueux locaux de l’Hadès Palace le malaise se fait sentir.
La règle régissant le palace pour commencer : « Le beau, Le vrai, L’extrême », que signifie t’elle vraiment ?
Quelle est cette histoire de cercles dont parlent certain artistes en cachette ?
Pourquoi tout ces gardes armés dans les couloirs ?
Qui est Bran Hadès le propriétaire du palace ?
L’histoire commence calmement puis une touche de fantastique vient recouvrir le récit, qui s’intensifie et pour finir une terrible angoisse finit par sourdre du roman.
Le roman est intégralement écrit au présent (c’est rare mais beau et délicieusement poétique) et sa lecture est très agréable. Le personnage de Maxime est très attachant et émouvant. Un très beau récit au rythme tranquille.