Après avoir lu un roman de Caryl Ferey, Zulu, et profitant d'un prix alléchant sur amazon, je me plonge dans Haka. Il a écrit ce roman avant Zulu, ça va être dans la même veine me dis je.
Las... Nous sommes toujours dans l'hémisphère sud, cette fois ci en nouvelle Zélande. Alors oui, la violence est là, comme dans Zulu. C'est dur, la société est corrompue de partout bla bla bla, le héros principal surtout, il en a bavé avec la disparition de sa femme et de sa fille 20 ans auparavant...Mais c'est trop. Trop. Les personnages vont de charybde en scylla jusqu'à la fin, invraisemblable.
Et schématique par dessus le marché : dés que l'auteur commence à nous en raconter un peu plus sur un des personnages secondaires, sa vie, ses espoirs, son quotidien, il a 2 chances sur 3 de mourir à la page d'après (et le plus souvent atrocement).
Bref, Caryl, je suis déçu.