J'attendais Losing Hope avec une grande impatience tout en prenant du recul vis-à-vis de cette sortie prochaine et éviter ce qui arrive souvent, d'en attendre trop et d'être finalement déçue.
Après avoir passé l'après-midi dessus, je n'ai qu'une chose à dire : DEAN HOLDER est exceptionnel ! Tous mes doutes et mes appréhensions quant à la redécouverte de l'histoire de Hopeless mais du point de vue d'Holder se sont envolés à la seconde où j'ai commencé ma lecture. Nul doute que ce soit l'effet Colleen Hoover combiné à cette histoire si bouleversante et belle à la fois.
Etre dans la tête de Dean Holder, c'est tellement génial… pour tout vous dire, je me demande quel point de vue j'ai préféré entre le sien et celui de Sky. Losing Hope c'est bien plus que l'histoire d'Hopeless de son point de vue. C'est la réponse à toutes nos questions en suspens, à tout ce que l'on pensait savoir sans jamais vraiment en être sûr. Losing Hope méritait bel et bien son tome à lui.
Comme je le disais plus haut, dès les premières lignes, j'ai su que ma lecture allait me plaire et même plus encore. Devrais-je vous dire que dès les premières pages j'avais déjà ces petites larmes au coin des yeux ? Avoir le point de vue d'Holder c'est tellement émouvant et révélateur sur pas mal de choses que chaque petit détail prend tout son sens.
Même si j'en connaissais l'issue et les révélations à venir, cela ne m'a pas empêché d'être émue aux moments clés. Quant à la fin et les rebondissements finaux, je dois dire que j'ai été totalement retournée. Bouleversée. Laissée sur le carreau. Cette fin dépasse mes attentes et confirme que Losing Hope est une lecture incontournable. Les quelques mots de Less m'ont véritablement marqué et explique un tas de choses...
En conclusion, mon cœur balance et se demande s'il s'agit d'un gros coup de cœur ou non et à l'heure actuelle, je délibère toujours avec moi-même. Je pense dire donc qu'il s'agit d'un petit coup de cœur et notamment pour ses personnages. Une chose est sur, j'attends l'histoire de Daniel avec impatience, vivement Août).
Ma chronique