Ça commençait correctement. Malgré l’exposition un peu indigeste de l’univers : des termes SF saupoudrés partout et sans aucune explication.
Puis viens la surprise, le livre va constituer d’une explication du passé de chaque personnage. Bon ok, tant pis pour une histoire épique sous fond de space opéra. Essayons quand même après tout.
La première histoire est intrigante, même si un peu longue (je tournais souvent les pages en me demandant quand ça allait finir). Faut aimer le style de l’histoire, ultra fantastique et des références à Dieu et la religion.
Cette première histoire se finit, on espère que ça aura un impact sur l’intrigue principale. Non, aucun. La deuxième histoire commence.
Bien plus chiante que la première. Tout aussi longue. Avec un personnage féminin quasi unidimensionnel qui n’existe que pour des scènes de sexe hyper nazes.
Toujours aucun impact sur l’intrigue principale. La troisième histoire commence direct après.
Et là j’en peux plus, je tourne les pages pour voir quand ça se finit. L’histoire est encore trop longue. Cette fois avec la lourdeur de plein de références littéraires. Sans aucune note en bas de page pour expliquer.
Trois allers-retours sur Wikipedia plus tard, j’arrête.
C’est pas nul, c’est correctement écrit. Quelques bons moments. La SF est quelque fois prenante. Juste la flemme de lire des nouvelles qui n’apportent quasi rien à l’histoire de fond.
Les résumés et critiques sur la suite du livre que j’ai lus n’ont fait que confirmer que j’ai bien fait d’arrêter : d’autres histoires courtes mais à la fois trop longues pas bien plus intéressantes. Et une fin qui n’en est pas une donc décevante.