Tour infernale
Quarante étages, mille appartements et deux mille notables triés sur le volet qui partent complètement en vrille : les ingrédients de cet "Immeuble de Grande Hauteur" avaient tout, absolument tout...
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le 28 juil. 2014
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«Plus tard, installé sur son balcon pour manger le chien, le Dr Robert Laing réfléchit aux événements insolites qui s’étaient déroulés à l’intérieur de la gigantesque tour d’habitation au cours des trois derniers mois. Maintenant que les choses avaient repris leur cours normal, il constatait avec surprise l’absence d’un début manifeste, d’un seuil précis au-delà duquel leurs existences avaient pénétré dans une dimension nettement plus inquiétante.»
Dans la continuité de «Crash !» et de «L’île de béton», ce court roman de James Graham Ballard (1930-2009) publié en 1975, troisième partie de la «trilogie de béton» traduite de l’anglais par Robert Louit en 1976 pour les éditions Calmann-Lévy, explore la sauvagerie qui peut germer et se répandre dans une société de loisirs aseptisée, où l’homme n’a d’autre choix pour briser l’ennui que de renouer avec le chaos primitif, l’animalité et la solitude.
La suite sur mon blog ici :
https://charybde2.wordpress.com/2017/05/21/note-de-lecture-i-g-h-j-g-ballard/
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Créée
le 13 juin 2013
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