"Un corps qui se meurt, jour après jour, à l'opposé d'un embryon qui se forme, jour après jour".
Alors qu'elle attend un enfant, Adèle Van Reeth voit son père emporté par une tumeur au cerveau.
Certes, bien des écrits ont déjà témoigné de l'amour filial et de la douleur du deuil et il est vrai que l'on pourrait reprocher à Adèle Van Reeth quelques digressions, mais on ne peut que saluer la richesse de son questionnement "philosophique" , exprimé en des mots simples qui le rendent accessible à tout un chacun.
Un de ces livres qui ne sauraient se contenter d'une seule lecture.