L'actualité sur J’avais jadis une belle patrie
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Ich hatte einst ein schönes Vaterland
1988 • livre de Lotte H. Eisner
Résumé : Les Mémoires de Lotte Eisner nous replongent dans l’Allemagne d’avant-guerre, à travers la vie quotidienne d’une famille de la grande bourgeoisie juive. Première femme critique de cinéma au Film-Kurier, L. Eisner est témoin de la richesse de la vie culturelle berlinoise (Bertolt Brecht, Max Reinhardt, Valeska Gert, Fritz Lang, Pabst…). Elle fuit l’Allemagne nazie en 1933 et trouve d’abord refuge en France où elle rencontre Henri Langlois et Georges Franju. Internée en 1940 par le gouvernement français au camp de Gurs, elle s’en évade. Durant l’Occupation, Langlois la cache dans un château où elle archive des bobines sauvées in extremis des mains de l’ennemi. Devenue, après-guerre, le numéro deux de la Cinémathèque française, elle parcourt le globe à la recherche des trésors du cinéma (films, décors, accessoires, etc.) et constitue, avec le Musée du cinéma, l’une des plus belles collections au monde. Ces souvenirs ont été recueillis par Martje Grohmann, ex-épouse de Werner Herzog, et sont préfacés par le cinéaste qui, dans Le Chemin des glaces, a fait le récit de sa longue marche pour la survie de La Eisnerin. Peinture d’une époque tourmentée, cet ouvrage raconte aussi la constitution d’une mémoire mondiale du cinéma. Les acteurs principaux du 7e art y sont convoqués, Lang et Langlois bien sûr, mais aussi Murnau, Louise Brooks, John Ford, François Truffaut, Alfred Hitchcock, André Breton, Marlene Dietrich, Erich von Stroheim ou encore Eisenstein.
Ich hatte einst ein schönes Vaterland
1988 • livre de Lotte H. Eisner
Résumé : Les Mémoires de Lotte Eisner nous replongent dans l’Allemagne d’avant-guerre, à travers la vie quotidienne d’une famille de la grande bourgeoisie juive. Première femme critique de cinéma au Film-Kurier, L. Eisner est témoin de la richesse de la vie culturelle berlinoise (Bertolt Brecht, Max Reinhardt, Valeska Gert, Fritz Lang, Pabst…). Elle fuit l’Allemagne nazie en 1933 et trouve d’abord refuge en France où elle rencontre Henri Langlois et Georges Franju. Internée en 1940 par le gouvernement français au camp de Gurs, elle s’en évade. Durant l’Occupation, Langlois la cache dans un château où elle archive des bobines sauvées in extremis des mains de l’ennemi. Devenue, après-guerre, le numéro deux de la Cinémathèque française, elle parcourt le globe à la recherche des trésors du cinéma (films, décors, accessoires, etc.) et constitue, avec le Musée du cinéma, l’une des plus belles collections au monde. Ces souvenirs ont été recueillis par Martje Grohmann, ex-épouse de Werner Herzog, et sont préfacés par le cinéaste qui, dans Le Chemin des glaces, a fait le récit de sa longue marche pour la survie de La Eisnerin. Peinture d’une époque tourmentée, cet ouvrage raconte aussi la constitution d’une mémoire mondiale du cinéma. Les acteurs principaux du 7e art y sont convoqués, Lang et Langlois bien sûr, mais aussi Murnau, Louise Brooks, John Ford, François Truffaut, Alfred Hitchcock, André Breton, Marlene Dietrich, Erich von Stroheim ou encore Eisenstein.
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Ich hatte einst ein schönes Vaterland
1988 • livre de Lotte H. Eisner
Résumé : Les Mémoires de Lotte Eisner nous replongent dans l’Allemagne d’avant-guerre, à travers la vie quotidienne d’une famille de la grande bourgeoisie juive. Première femme critique de cinéma au Film-Kurier, L. Eisner est témoin de la richesse de la vie culturelle berlinoise (Bertolt Brecht, Max Reinhardt, Valeska Gert, Fritz Lang, Pabst…). Elle fuit l’Allemagne nazie en 1933 et trouve d’abord refuge en France où elle rencontre Henri Langlois et Georges Franju. Internée en 1940 par le gouvernement français au camp de Gurs, elle s’en évade. Durant l’Occupation, Langlois la cache dans un château où elle archive des bobines sauvées in extremis des mains de l’ennemi. Devenue, après-guerre, le numéro deux de la Cinémathèque française, elle parcourt le globe à la recherche des trésors du cinéma (films, décors, accessoires, etc.) et constitue, avec le Musée du cinéma, l’une des plus belles collections au monde. Ces souvenirs ont été recueillis par Martje Grohmann, ex-épouse de Werner Herzog, et sont préfacés par le cinéaste qui, dans Le Chemin des glaces, a fait le récit de sa longue marche pour la survie de La Eisnerin. Peinture d’une époque tourmentée, cet ouvrage raconte aussi la constitution d’une mémoire mondiale du cinéma. Les acteurs principaux du 7e art y sont convoqués, Lang et Langlois bien sûr, mais aussi Murnau, Louise Brooks, John Ford, François Truffaut, Alfred Hitchcock, André Breton, Marlene Dietrich, Erich von Stroheim ou encore Eisenstein.
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Ich hatte einst ein schönes Vaterland
1988 • livre de Lotte H. Eisner
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Le 8 sept. 2023
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Le 23 août 2023
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Merci; cette visite m'a permis de découvrir que le texte et son formatage étaient bourrés de fautes et bugs, un peu corrigés désormais :-)
Le 25 juil. 2023
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Le 20 janv. 2023
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ps: _un jeune homme tombe amoureux d'une amie de Lotte qui vient "déguisée en Africaine" à une fête, il lui écrit des lettres parfois dures...c'est Bertolt Brecht. _je comprends enfin que je l'avais déjà croisée cette Dame: dans un doc sur Werner Herzog; c'est pour elle qu'il a marché à s'épuiser des kilomètres, comme pèlerinage; pour la sauver! _dés les années 80s, elle racontait dans l'édition Allemande sa visite forcée à Auschwitz où elle parle des vitrines et qu'elle repère "dans un coin, u...
Le 5 févr. 2023
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Les meilleurs livres sur le cinéma
et
Ach! Grosse envie de tenter suite à articles! Extrait de l'article de Jean-Pierre Bouyxou, page 28, Siné Mensuel, Janvier 2023: _(...)""On savait qu'elle avait été une immense historienne du cinéma. En lisant ses Mémoires, on découvre que Lotte H. Eisner (1896-1983) fut aussi, de cent façons, une bourlingueuse. Car, pour elle, la cinéphilie ne cessa jamais d'être une aventure. En 1962, quand j'ai vu Lotte H. Eisner pour la première fois, elle n'avait pas encore publié la version définitive de L...
Le 7 janv. 2023
J'ai un peu écouté la décousue rediffusion des 40 ans de Positif... Ils évoquent ses déplacements avec les copies des films qu'ils prêtaient, qu'elle ne devait jamais perdre de l'oeil.
Le 7 janv. 2023
Je ne l'ai pas écoutée; j'avais été un peu abonné à Positif quand j'avais des réductions: super papier et supers papiers... Je ne savais pas qu'on volait de bobines de films comme on volet des 33T à des fêtes :)
Le 8 janv. 2023