Désolé.
Mais il n'y pas d'autres mots, plus qu'un titre, qui au final n'a d'intérêt que commercial.
Pour rester constamment au dessus de la masse, sans l'insulter mais justement lui montrer la voie.
Celle de chaque chose, pas celle que doit prendre tout le monde.
Un livre simplement tellement aéré, qui laisse le plus d'espace à l'interprétation par son fantasque grotesque.
On va encore dire que je disserte sur le contraste mais.....
Le fantasque est déjà interprétatif car il se superpose au réel.
Le grotesque vient rajouter de la puissance par son propre contraste en grossiérisant (grossissant) la réalité (le trait) pour accentuer certains aspects voulus par son utilisation.
On utilise donc un contraste qualitatif sur un contraste universel pour amplifier (plus qu'accentuer) une puissance voulue, ici le sauvetage de tout le monde (le messianisme) par l'élévation personnelle (le libre arbitre).
Donc on a pris un goéland, qui voulait être plus qu'un bouffeur de poisson sur un rocher.
Il sera toujours un oiseau, mais va vite vouloir devenir le meilleur d'entre eux en voyant qu'il y a au moins quelques autres espèces.
Il sera toujours un animal, mais va vite vouloir devenir le meilleur d'entre eux en voyant qu'il y a bien d'autres types.
Il sera toujours un être vivant, mais va vite vouloir devenir plus que ce qu'il y a de visible, atteindre cette évolution en soi, volonté, volition, impalpable mais ressentable.
Impressionnable dans sa tête donc reproduisible en réalité vu que Dieu lui a déjà permis d'arriver jusque là.