L'auteur :
Amélie Nothomb est une auteure-romancière belge née en 1967 à Kobe au Japon, où elle passera les 5 premières années de sa vie. Amélie Nothomb est la fille de l’ambassadeur de Belgique à Rome. Elle est, également, la nièce de Charles-Ferdinand Nothomb, un homme politique. Elle grandira, partagée entre plusieurs villes dans le monde, de Chine à New York en passant par Bangladesh, Birmanie et Laos. Elle retourne en Belgique, à l’âge de 17 ans, pour poursuivre ses études en philologie romaine à l’Université Libre de Bruxelles. C’est à ce moment-là qu’elle commence l’écriture secrètement. Elle ne rend publics ses romans qu’en 1992, avec la publication de son roman Hygiène de l’assassin et depuis elle enchaîne les succès. Elle fut, également, décorée par plusieurs prix comme : le Grand Prix de l’Académie française, le prix Jean Giono, le prix Alain Fournier et le Prix Chianciano. Aujourd’hui domiciliée à Bruxelles, Amélie Nothomb voyage toujours énormément et publie au moins un livre par an.
Résumé du livre :
Ce thriller romantique parle d’un jeune homme de 30 ans, nommé Urbain, qui après avoir tout perdu, est devenu insensible et se reconvertit en tueur à gages pour une mafia. Tuer pour lui est d’une excitation nouvelle tel qu’il ne peut la décrire. Un jour, il a pour mission d’assassiner un ministre et toute sa famille et de récupérer une mallette pour son chef. Une fois arrivé sur place, il assiste au meurtre du ministre tué par sa fille. Après avoir exécuté toute la famille, il s’empare de la mallette et ne peut s’empêcher d’y jeter un coup d’œil. C’est alors, qu’il découvrit le journal intime de la fille du ministre, qu’il vient de tuer et la surnommera Hirondelle. Après avoir lu le journal intime de la jeune fille, de nouvelles sensations montent en lui et son comportement changea d’une manière nouvelle.
Critique :
J’ai beaucoup aimé ce roman, car je trouve que la plume de l’auteur vraiment légère et qu’il est facile de s’imprégner du texte. C’est un court roman qui peut se lire facilement et pas compliqué à comprendre. On est vite pris dans l’intrigue de l’histoire et on ne peut s’empêcher d’être curieux de la suite des évènements et des réactions du personnage principal, Urbain.
Ensuite, même si le roman comporte quelques scènes un peu « trash », j’ai adoré suivre toute l’évolution psychologique d’Urbain et, aussi, comment il est passé d’un état, je dirais, dépressif à une excitation extrême due à son nouveau travail, c’est-à-dire, tuer des gens.
Pour conclure, j’ai, énormément, apprécié ce livre pour la légèreté de la plume de l’auteur, pour le suivi de l’état psychologique du héros de l’histoire et pour cette histoire d’amour qui n’en est pas vraiment une.