Décevant
*spoile inside* Misty vit sur une ile pourrie avec une belle bande de pèquenauds qui lui demandent de se remettre à peindre, comme quand elle était étudiante. Sauf qu'elle n'en a franchement pas...
Par
le 5 nov. 2010
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Sur une trame qui fait penser aussi bien au Misery de Stephen King qu'au Rosemary's Baby de Roman Polanski, Palahniuk s'offre une petite virée du côté du thriller paranoïaque mâtiné de fantastique. L'occasion de dresser avant tout le portrait, sombre, d'une femme, Misty : son enfance douloureuse, son enfermement, son alcoolisme et sa mélancolie. Et l'auteur de s'interroger également sur la souffrance comme source d'inspiration artistique. Avec ce roman, Palahniuk semble un peu plus "posé". Qu'on se rassure, ça reste suffisamment barré. La narration est moins éclatée (utilisation de la forme d'un journal intime), l'histoire moins alambiquée. Malgré tout, la noirceur de l'auteur et son cynisme sont toujours présent.
Créée
le 10 juil. 2020
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le 5 nov. 2010
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Alors oui, évidemment, je suis fan de Fight Club. Donc oui, évidemment, quand, au hasard du tripotage de titres sur mon Kindle, je suis tombée sur Chuck Palahniuk et l’unique bouquin que j’en avais,...
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le 13 févr. 2013
2 j'aime
Prévisible et plutôt longuet un bouquin étouffant de noirceur mais plein de bonne idée et une réflexion plutôt intéressante sur l'art, un livre qui aurai du faire 150 pages au lieux de 360 .
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le 13 oct. 2011
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