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Corpsetbiens

"Dans l'ancienne Hawaï, avant l'arrivée des Européens, le surf avait un caractère religieux. Après les prières et les offrandes, les maitres artisans confectionnaient des planches dans le bois d'arbres sacrés, koas ou wiliwilis. Les prêtres bénissaient la houle, cinglaient l'eau de lianes pour la faire lever, et sur la plage de certains breaks se dressait un heiau (un temple) où les dévots pouvaient aller prier pour appeler quelques belles vagues." William Finnegan Sports pratiqués : surf.

Le 2 août 2024

AnnaStasi

a attribué 7/10 au livre

Jours barbares

Barbarian days, A surfing life

livre de William Finnegan

Résumé : Le surf ressemble à Un sport, un passe-temps. Pour ses initiés, c’est bien plus : une addiction merveilleuse, une initiation exigeante, un art de vivre. Élevé en Californie et à Hawaï, William Finnegan a commencé le surf enfant. Après l’université, il a traqué les vagues aux quatre coins du monde, errant des îles Fidji à l’Indonésie, des plages bondées de Los Angeles aux déserts australiens, des townships de Johannesburg aux falaises de l’île de Madère. D’un gamin aventureux, passionné de littérature, il devint un écrivain, un reporter de guerre pour le New Yorker. À travers ses mémoires, il dépeint une vie à contre-courant, à la recherche d’une autre voie, au-delà des canons de la réussite, de l’argent et du carriérisme ; et avec une infinie pudeur se dessine le portrait d’un homme qui aura trouvé dans son rapport à l’océan une échappatoire au monde et une source constante d’émerveillement. Ode à l’enfance, à l’amitié et à la famille, Jours Barbares formule une éthique de vie, entre le paradis et l’enfer des vagues, où l’océan apparaît toujours comme un purgatoire. Un livre rare dont on ne ressort pas tout à fait indemne, entre Hell’s Angels de Hunter S. Thompson et Into The Wild de Jon Krakauer.

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Jours barbares

Barbarian days, A surfing life

livre de William Finnegan

Résumé : Le surf ressemble à Un sport, un passe-temps. Pour ses initiés, c’est bien plus : une addiction merveilleuse, une initiation exigeante, un art de vivre. Élevé en Californie et à Hawaï, William Finnegan a commencé le surf enfant. Après l’université, il a traqué les vagues aux quatre coins du monde, errant des îles Fidji à l’Indonésie, des plages bondées de Los Angeles aux déserts australiens, des townships de Johannesburg aux falaises de l’île de Madère. D’un gamin aventureux, passionné de littérature, il devint un écrivain, un reporter de guerre pour le New Yorker. À travers ses mémoires, il dépeint une vie à contre-courant, à la recherche d’une autre voie, au-delà des canons de la réussite, de l’argent et du carriérisme ; et avec une infinie pudeur se dessine le portrait d’un homme qui aura trouvé dans son rapport à l’océan une échappatoire au monde et une source constante d’émerveillement. Ode à l’enfance, à l’amitié et à la famille, Jours Barbares formule une éthique de vie, entre le paradis et l’enfer des vagues, où l’océan apparaît toujours comme un purgatoire. Un livre rare dont on ne ressort pas tout à fait indemne, entre Hell’s Angels de Hunter S. Thompson et Into The Wild de Jon Krakauer.

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Jours barbares

Barbarian days, A surfing life

livre de William Finnegan

Résumé : Le surf ressemble à Un sport, un passe-temps. Pour ses initiés, c’est bien plus : une addiction merveilleuse, une initiation exigeante, un art de vivre. Élevé en Californie et à Hawaï, William Finnegan a commencé le surf enfant. Après l’université, il a traqué les vagues aux quatre coins du monde, errant des îles Fidji à l’Indonésie, des plages bondées de Los Angeles aux déserts australiens, des townships de Johannesburg aux falaises de l’île de Madère. D’un gamin aventureux, passionné de littérature, il devint un écrivain, un reporter de guerre pour le New Yorker. À travers ses mémoires, il dépeint une vie à contre-courant, à la recherche d’une autre voie, au-delà des canons de la réussite, de l’argent et du carriérisme ; et avec une infinie pudeur se dessine le portrait d’un homme qui aura trouvé dans son rapport à l’océan une échappatoire au monde et une source constante d’émerveillement. Ode à l’enfance, à l’amitié et à la famille, Jours Barbares formule une éthique de vie, entre le paradis et l’enfer des vagues, où l’océan apparaît toujours comme un purgatoire. Un livre rare dont on ne ressort pas tout à fait indemne, entre Hell’s Angels de Hunter S. Thompson et Into The Wild de Jon Krakauer.

Benjamin_Tudoret

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Jours barbares

Barbarian days, A surfing life

livre de William Finnegan

Résumé : Le surf ressemble à Un sport, un passe-temps. Pour ses initiés, c’est bien plus : une addiction merveilleuse, une initiation exigeante, un art de vivre. Élevé en Californie et à Hawaï, William Finnegan a commencé le surf enfant. Après l’université, il a traqué les vagues aux quatre coins du monde, errant des îles Fidji à l’Indonésie, des plages bondées de Los Angeles aux déserts australiens, des townships de Johannesburg aux falaises de l’île de Madère. D’un gamin aventureux, passionné de littérature, il devint un écrivain, un reporter de guerre pour le New Yorker. À travers ses mémoires, il dépeint une vie à contre-courant, à la recherche d’une autre voie, au-delà des canons de la réussite, de l’argent et du carriérisme ; et avec une infinie pudeur se dessine le portrait d’un homme qui aura trouvé dans son rapport à l’océan une échappatoire au monde et une source constante d’émerveillement. Ode à l’enfance, à l’amitié et à la famille, Jours Barbares formule une éthique de vie, entre le paradis et l’enfer des vagues, où l’océan apparaît toujours comme un purgatoire. Un livre rare dont on ne ressort pas tout à fait indemne, entre Hell’s Angels de Hunter S. Thompson et Into The Wild de Jon Krakauer.

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Jours barbares

Barbarian days, A surfing life

livre de William Finnegan

Résumé : Le surf ressemble à Un sport, un passe-temps. Pour ses initiés, c’est bien plus : une addiction merveilleuse, une initiation exigeante, un art de vivre. Élevé en Californie et à Hawaï, William Finnegan a commencé le surf enfant. Après l’université, il a traqué les vagues aux quatre coins du monde, errant des îles Fidji à l’Indonésie, des plages bondées de Los Angeles aux déserts australiens, des townships de Johannesburg aux falaises de l’île de Madère. D’un gamin aventureux, passionné de littérature, il devint un écrivain, un reporter de guerre pour le New Yorker. À travers ses mémoires, il dépeint une vie à contre-courant, à la recherche d’une autre voie, au-delà des canons de la réussite, de l’argent et du carriérisme ; et avec une infinie pudeur se dessine le portrait d’un homme qui aura trouvé dans son rapport à l’océan une échappatoire au monde et une source constante d’émerveillement. Ode à l’enfance, à l’amitié et à la famille, Jours Barbares formule une éthique de vie, entre le paradis et l’enfer des vagues, où l’océan apparaît toujours comme un purgatoire. Un livre rare dont on ne ressort pas tout à fait indemne, entre Hell’s Angels de Hunter S. Thompson et Into The Wild de Jon Krakauer.

Floridjan

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emcine

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Jours barbares

Barbarian days, A surfing life

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Résumé : Le surf ressemble à Un sport, un passe-temps. Pour ses initiés, c’est bien plus : une addiction merveilleuse, une initiation exigeante, un art de vivre. Élevé en Californie et à Hawaï, William Finnegan a commencé le surf enfant. Après l’université, il a traqué les vagues aux quatre coins du monde, errant des îles Fidji à l’Indonésie, des plages bondées de Los Angeles aux déserts australiens, des townships de Johannesburg aux falaises de l’île de Madère. D’un gamin aventureux, passionné de littérature, il devint un écrivain, un reporter de guerre pour le New Yorker. À travers ses mémoires, il dépeint une vie à contre-courant, à la recherche d’une autre voie, au-delà des canons de la réussite, de l’argent et du carriérisme ; et avec une infinie pudeur se dessine le portrait d’un homme qui aura trouvé dans son rapport à l’océan une échappatoire au monde et une source constante d’émerveillement. Ode à l’enfance, à l’amitié et à la famille, Jours Barbares formule une éthique de vie, entre le paradis et l’enfer des vagues, où l’océan apparaît toujours comme un purgatoire. Un livre rare dont on ne ressort pas tout à fait indemne, entre Hell’s Angels de Hunter S. Thompson et Into The Wild de Jon Krakauer.