Stephen king vieillit, mais plutôt bien le bougre !
Joyland s'inscrit dans une nouvelle veine de notre maître de l'épouvante, avec Duma Key, 22/11/63, Joyland fait partie de ces livres qui une fois ouvert ne distillent plus la peur, l'effroi ou même l'épouvante mais bien la tristesse, la nostalgie, et ce petit quelque chose que l'on ne commence à comprendre que l'été de nos 20 ans et à l'automne de 50 années révolues, dans cet ordre et puis c'est tout.
Fan à 20 ans de Mister King, pour sa maîtrise de l'horreur, je découvre cet "automne"...un écrivain qui nous montre, un peu, avec beaucoup de délicatesse, juste entre les lignes, son parcours personnel, sa nostalgie et le regret d'une jeunesse révolue.