un incontournable . Une fois de plus, Zola fait la nique à l'hypocrisie sociale (qui fait l'autruche bien sur sur les problemes ...çà ne vous rapelle rien????). Il décrit le parcours de la pauvre Gervaise , victime des conditionements à la fois sociaux, familiaux et personnels, ne resistant pas à l'appel de l'alcool comme des parasites (Lantier et Coupeau), Zola n'epargne pas le lecteur . L'Amour comme le Travail ne lui apportent pas l'epanouissement promis , son parcours se teinte d'auto-destruction, d'echecs, d'aneantissement au final ... la peinture du peuple est soutenue par une langue crue et sans fard . Sans doute reprochait on à Zola d'etre trop"réaliste"....un de mes auteurs preferes , pour qui la litterature n'etait pas qu'un petit divertissement , loin de la .....