Parce qu'un Zola, ça ne se finit souvent pas.
L'Assommoir je dis non, non et encore non. Voir cette pauvre cruche se rouler dans la boue et la fiente avant de se jeter à cœur perdu dans tout ce qui est destructeur pour elle, ce n'est pas déprimant, c'est navrant et contre productif. A trop enfoncer ses idées, Zola me lasse.
Alors oui, je vais faire la blague facile, c'est assommant, non pas parce que c'est mal écrit, parce qu'il ne se passe rien ou parce que c'est long, mais simplement parce que je n'arrive pas à supporter le bourrage de crâne façon XIXème.
Cependant tout n'est pas à jeter, de sublimes extraits s'y trouvent, il ne faudrait d'ailleurs ne le lire que comme cela.