L'Avenir est ouvert par Sisyphe
« Le plus grand péril me semble en fait le pessimisme, autrement dit la perpétuelle volonté de dire aux jeunes qu’ils vivent dans un monde mauvais. Il me semble que c’est le plus grand péril de notre temps, plus grand que la bombe atomique. Laisser entendre aux gens qu’ils vivent dans un monde mauvais, hypocrite et je ne sais quoi encore. Si l’on considère les choses sous un angle historique, le monde où nous vivons est, à mon sens, le meilleur qui ait existé. Bien sûr c’est un monde mauvais, parce qu’il y a un monde meilleur, et que la vie incite à chercher un monde meilleur. Et il faut poursuivre cette quête. » p. 53
« Le cerveau, hypothèse qui produit des hypothèses » p. 99