Les 150 premières pages sont prometteuses. On apprend à connaître Leto II, l’Empereur Dieu au corps de ver, personnage immédiatement charismatique. On découvre également d’autres personnages (Monéo et les Truitesses par exemples) sur fond de révolte contre la tyrannie. Mais rapidement, l’auteur reprend ses mauvaises habitudes de tomes précédents, surtout le 2. C’est long, assez pénible à lire, ça traîne sérieusement en longueur et ça manque cruellement d’action. Ce tome reste indispensable malgré tout car il signe la fin d’une époque. Mais franchement, qu’est-ce que c’est loooong.
Ma note : 10/20
Ma prochaine lecture : « Les Tommyknockers » de Stephen King.