Me voici venue à bout de ce galimatias : un écrivain se lance dans une enquête sur une mystérieuse chambre 622. De là, la construction de ce roman, entre le personnage de l’Écrivain qui enquête sur le meurtre perpétré dans cette chambre, retour en arrière sur l'époque du meurtre et les jours qui ont précédé, enfin autre temporalité quinze ans plus tôt. Le tout avec des personnages appartenant au monde de la finance, et entrecoupé de passages dithyrambiques où l’Écrivain encense son éditeur disparu, tout en regrettant sa dernière idylle.
Pouah, quel embrouillamini inintéressant et tellement peu crédible ! Franchement, on dirait que l'auteur a eu mille idées à la fois et les a jetées en vrac dans ces presque 600 pages. Et on retrouve les mêmes ressorts que dans l'Affaire Harry Québert (que je n'avais pas aimé), c'est gros comme une maison. L'écriture est maladroite, à deux doigts de la niaiserie, surtout les passages sur Bernard de Fallois (tu parles d'un hommage...!!!).
C'est officiellement terminé, plus jamais de Joël Dicker pour moi !!!!