J'étais bien partie pour me faire tout Fitzgerald, éblouie par le chef-d'oeuvre Gatsby le magnifique, mais L'envers du paradis m'a stoppé dans mon élan, au quart du livre pour être exact. Quand tu commences à faire des calculs sur le nombre de jours qu'il te reste avant d'évacuer le dit-bouquin à raison de 20 pages par jour, c'est en général mal barré ! J'ai pas retrouvé l'écriture délicate et somptueuse que j'avais adoré et l'histoire d'Amory, jeune-beau-riche-imbu-socialite du début du siècle dernier m'a désintéressé (en général je me contrefous du destin des jeunes mecs de ce genre, je sais même pas pourquoi j'ai cru que ça le ferait), et voilà, pourquoi s'acharner alors qu'il y a tellement de livre à lire ici-bas.