J'ai fait la connaissance de Christian Laborie , il y a très peu de temps avec son roman "Les Sarments de la colère," ce qui m'a permis, quelques pages durant, d'échapper à mon quotidien. J'ai fini par éteindre la télé pour oublier cette satanée pandémie qui devient terriblement anxiogène.
Je devine parfaitement ce que vont se dire les lecteurs qui "tomberont "sur cette critique. Ah les romans du terroir, c'est toujours la même intrigue Une histoire d'amour entre deux personnages sur fond de première guerre ou de seconde guerre mondiale.
Peu importe, dans ce roman palpitant, où tous les personnages sont attachants, j'ai fait la connaissance de La famille Rochefort, dont les aventures m'ont passionnées. Là encore, j'aurais passé mes nuits, à lire, sans relâche, mais malheureusement, la fatigue finissait toujours par gagner la bataille.
En atteignant la dernière page du livre, j'au eu de la peine de quitter cette famille. J'ai eu très vite l'impression d'appartenir à ce clan. Cependant, la joie a pris le pas sur la peine. Je me suis rendu compte que Christian Laborie avait donné vie à cette famille en 2012 et que le livre dont je fais la critique ici constitue le cinquième et dernier tome de cette fabuleuse saga. La chance que j'ai eue c'est que tous ces tomes peuvent se lire indépendamment les uns des autres. De plus, l'auteur réussit avec brio à nous raconter la petite histoire dans la Grande Histoire avec une multitude de détails historiques, ce qui donne à cette saga beaucoup d'intérêt.
Bonne lecture à tous.