Frankie machine est une légende dans le petit milieu des malfrats. Il fut surnommé ainsi parce qu'il tuait à la chaine sans remords et son nom est toujours synonyme de bain de sang à San Diego. Mais aujourd'hui Frankie a 60 ans et il n'aime rien moins que la pêche et le surf.

Aussi, lorsqu'on cherche à le descendre, le professionnel en lui se réveille et se relance la "Machine".

Rythmé et fluide, un roman qui se lit comme une balle, et cela n'étonnera personne de savoir que D. Winslow est scénariste aux vues de son écriture très, très cinématographique.

Un livre digne des meilleurs Scorsese. Et le compliment est mérité.
YannleBohec
7
Écrit par

Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur et l'a ajouté à sa liste thriller...

Créée

le 29 sept. 2012

Critique lue 473 fois

2 j'aime

YannleBohec

Écrit par

Critique lue 473 fois

2

D'autres avis sur L'Hiver de Frankie Machine

L'Hiver de Frankie Machine
Angélita
8

Critique de L'Hiver de Frankie Machine par Angélita

L’hiver de Frankie Machine de Don Winslow, présentation Frank Macchiano, 62 ans, est célibataire, il se lève très tôt, il aime l’opéra, la cuisine, a une petite amie Donna. Il aime cuisiner comme son...

le 21 janv. 2022

L'Hiver de Frankie Machine
joey23
8

un style simple et efficace pour une plongée vertigineuse dans le monde de la mafia

Après la griffe du chien (très bon), c'est mon 2ème livre de Don Winslow. Et j'ai passé un très bon moment. On a parfois du mal à s'y retrouver dans la multiplication des noms de mafieux mais la...

le 5 mai 2017

L'Hiver de Frankie Machine
EtienneBa
4

Décevant

J'ai beaucoup aimé La griffe du chien : documenté (ou donnant le sentiment de l'être), personnages marquants, très bon suspense... Ici, certes un sorte de plongée dans le vécu d'un mafieux, mais bien...

le 30 août 2015

Du même critique

L'Atelier des miracles
YannleBohec
9

Critique de L'Atelier des miracles par YannleBohec

Quatre personnes. Quatre destins modernes, fatigués, usés, en rupture. Millie, jeune femme insignifiante, qui croit pouvoir tout recommencer à zéro en voyant tout ce qui faisait son identité brûler...

le 13 mars 2013

5 j'aime

Un soir au club
YannleBohec
8

Critique de Un soir au club par YannleBohec

Comme le jazz qu'il affectionne tant, C. Gailly ouvre la partition de Simon Nardis qui, comme un ancien drogué un soir par accident rejoue de son instrument fétiche, le piano. Et ce "soir au club"...

le 29 sept. 2012

4 j'aime

Le Festin nu
YannleBohec
5

Critique de Le Festin nu par YannleBohec

Obscène, loufoque, étrange, aberrant, insoutenable, imagé, maniaque, absurde, défoncé, pitoyable, ignoble, émérite, pénible, terrifiant. Tout ceci pour qualifié l'ouvrage mythique, voire...

le 28 oct. 2012

3 j'aime

2