Pour ce livre au titre smiley, Frédéric rappelle à la rescousse son double publicitaire né avec 99.- Francs, Octave. Et Octave a vieilli et commet la pitrerie de trop qui le démissionne de la radio France Publique.
Un livre un peu geignard, truffé de name-dropping dans lequel le pauvre Octave est victime des autres, de lui, des drogues, des femmes, du temps, de tous, où tout le monde est victime, ou le monde est victime et la société est victime ou la victime est victime, victime, victime…
Car ce n’est pas de la faute à Frédéric si Octave est une brelle et finit toujours par cracher dans la soupe après avoir cassé sa soupière.
Pourtant, c’est un livre plein de talent, drôle et caustique qui tape juste, allègre et décomplexé même s’il finit un peu moisi
https://www.noid.ch/lhomme-qui-pleure-de-rire/