Yes Man! et l’homme qui voulait être heureux sont sortis la même année.
Tous deux mettent en scène un personnage pittoresques qui reprend les rennes de sa vie à la suite d’expérience incongrue grâce à un ‘sage’.
À l’unique différence que Reed réussira à transmettre en 1h44 le message que Gounelle aura du mal coucher sur papier et développer en 176 pages.
Une écriture qui laisse à désirer, des idées non pas simples mais simplet, des phrases qui se répètent inutilement sans que le message ne soit appuyé, un personnage qui ne sera pas assez développé pour être attachant. Des idées intéressantes sont effleurés mais un tout lourd et indigeste.