1805
En 1805 le dernier ennemi de Napoléon est la mer, pas l’Angleterre. Les dix années suivantes il n’aura pas l’occasion de retenter ce rêve, et ses captivités dans l'île d’Ebe et l'île de Sainte-Hélène...
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le 12 janv. 2018
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Pas assez concis et répète de nombreuses idées d’un livre à l’autre. Autant de fulgurances que d’érudition. Sa pensée féconde s’enferme dans des lectures et des idées auxquelles il reste trop fidèle. À trop vouloir se distinguer de l’histoire politique et militaire il finit par l’escamoter complètement, il fuit un excès pour tomber dans un autre.
Le bougre n’aurait pas dû se contenter du Moyen-Âge, il aurait pu au moins toucher quelques mots du reste de l’humanité.
Créée
le 1 déc. 2017
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