Dès 1987 et même plus tôt les agressions sexuelles sur mineurs sont connues et dénoncées de façon masquée par Christian Laborde alors professeur à Notre Dame de GARAISON.(Monléon-Magnoac) établissement catholique primaire et secondaire des Hautes Pyrénées, 600 élèves en externe ou internat, distant de 95kms de Bétharram (Pyrénées Atlantiques). L'ouvrage assez court est explicite des dérives possibles dans ces établissements rarement contrôlés. GARAISON est réputé comme Bétharram pour la discipline et ses punitions, le jeûne imposé, les récitations à faire à l'envers sur ordre du préfet des études, la peur partagée des élèves. Comme à Bétharram les élèves sont pour partie issus du pays et des enfants des bourgeois de Pau et Toulouse, tous payant une somme de 3000 à 3800 euros l'année scolaire. Christian LABORDE, originaire de la région, y fut l'enseignant de lettre et d'occitan qui dénonça de manière indirecte, sous mots couverts, dans son "Os de Dionysos" les pratiques sexuelles d'enseignants d'un collège ressemblant à GARAISON (ou à Bétharram) nommé "notre dame des Frondaisons".. L'ouvrage fut censuré en 1987 par le TGI de TARBES pour "trouble illicite, incitation au désordre et à la moquerie pornographique".
Le dernier roman censuré en France alors qu'il aurait du aider la justice !
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Quand les notables bourgeois sont complices des notables ecclésiastiques !
A l'époque quand j'ai lu ce livre je n'avais pas compris ce qu'il recelait. J'y voyais un ouvrage vaguement sulfureux alors qu'il était bien plus profond. Le prof de lettres et d'occitan CL dénonce le système dans lequel il exerce. L'équipe pédagogique dont il fait partie est un aréopage de personnes frustrées et violentes. Où sont les élèves dans tout ça juste bons à valoriser les égos de professeurs et de surveillants brutaux, iniques. Un projet pédagogique ? Vaste blague les jeunes sont de la terre glaise qu'il faut modeler à sa convenance, à la convenance d'un système régi par l'église et pourquoi pas, en passant prendre du plaisir en frappant, en tripotant et en pénétrant là où on n'a pas été invité ! Quid du consentement : Je te domine / Tu consens POINT FINAL !