Bordel que ça fait du bien. Retrouver cet univers, retrouver cette plume, ses références, ses interrogations. C4est un peu comme quand j'ouvre un Harry Potter : je me sens un peu de nouveau chez moi. Ce livre, ça fait des années que les fans de Pullman l'attendent, à guetter le moindre signe d'activité sur internet comme de gros psychopathes. Et ça y est, je l'ai entre les mains. Et ça y est, je l'ai dévoré. Je serais incapable d'avoir un avis objectif pourtant je suis sûre que ce bouquin est truffé de défauts, comme tout ces livres qu'on attend trop. Mais voilà, tout comme Malcolm quand il voit Lyra pour la première fois, je ne peux pas détacher mes yeux.