« La bête qui meurt » commence comme une histoire de sexe, une passion physique quasiment taboue, et se termine part des réflexions profondes sur la vie.
Le sexe, élément central du roman, est également considéré comme l’élément central de la vie mais sans le coté « procréation et harmonie » de la vie religieuse, plutôt comme moyen de lutte naturel, instinctif contre le dépérissement et la mort.
« La bête qui meurt » est un donc un roman puissant, cru, sans complaisance traitant de notre société avec en toile de fond l’explosion des valeurs familiales et traditionnelles, un roman dont la noirceur et la lucidité semblent le fruit de l’arrivée au crépuscule de sa vie d’un grand écrivain.
Le roman que je relirai peut être à plus de soixante ans passés ?
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