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Très cher Monsieur Camus,
Je vous avez dit qu'après ma découverte tardive de l'étranger, je ne comptais pas m'arrêter là.
Le choix de la seconde nouvelle a été rapide, en effet sur le départ pour les sports d'hiver j'ai trouve tout indiqué d'emporter "la chute".
Je vous ai donc emmené partout, Mr Camus en voiture, Mr Camus sur le télésiège, Mr Camus en mangeant une tartiflette sur les pistes bref vous m'avez accompagné partout et apres chaque pause je vous rangeais dans ma poche tout en essayant de marcher élégamment chaussures de ski aux pieds ce qui je l'avoue relève du défi !
Bon une fois sur les skis, la voilà donc la chute, la fameuse qui vous fait bouffer la neige, qui vous laisse étalée dans la poudreuse, un ski à 5m en amont et l'autre même distance mais en aval.
Le tout est de rester digne au cas ou un beau moniteur viendrait à votre secours.
Mais rien à voir avec la chute de votre livre n'est ce pas ?
Rien à voir avec la chute morale de votre personnage, cet avocat tellement sur de lui qu'il est persuadé d être formidable parce qu'il aide les aveugles à traverser la rue.
Mais sa lâcheté va le rappeler à l'ordre et la chute va être terrible, la descente aux enfers inévitable !
Pour résumer, Je dirais que j'ai moins aime que l étranger les monologues m'ont paru parfois un peu long mais j'apprécie toujours le détail dans les émotions qu'Albert camus fait passer à la perfection.