La croix de perdition par Stephane Albert
Comme d'habitude avec Andrea H. Japp, le roman fait la part belle à la psychologie des personnages. On retrouve certains des ‘héros’ de « Monestarium », on en découvre d’autres et on regrette que ça finisse trop vite. Si le roman est bien écrit et construit, avec une intrigue qui nous tient bien en haleine, la fin est malheureusement trop abrupte (un peu comme pour « la Dame sans terre »). Néanmoins le plaisir reste intact et ce livre, même si ce ne sera pas le polar de l’année, reste un bon roman à suspens qui plonge avec délice dans un moyen-âge ténébreux.