Princesse Mononoké à Aix en Provence.
Un tableau : phallique Grand Solitaire, racines pénétrant les collines verdoyantes, cîme aspirant à la voûte céleste, n'autorisant que vie rampante à son ombre.
Du Terence Malick au 19e. Le quasi-déiste cinquième volume de la saga des Rougon est une ode à l'Eden ( extatique paraphe d'Albine "Serge! Serge! cria-t-elle en tapant des mains, la vache a fait un veau"). Je ne regarderai plus jamais de la même manière un diffuseur automatique d'huiles essentielles.
On regrettera presque, rappel du manichéisme dans lequel sombre malgré lui l'Emile, le caricatural prédicateur Frère Archangias, cruel chantre des bois, des faons et des bucoliques biatch consanguines.