C'est bien écrit, comme la plupart des livres de l'auteur, cependant la « romance » est ratée, elle est axée sur le désir du protagoniste et de la poétisation de ses actes qui relève de la culture du viol.
Et vas-y qu'il lui tripote les mains alors qu'elle n'est pas réceptive pour la « tranquilliser » de sa peur avant de l'embrasser avec, je cite « la calme exigence de l’enfant au sein », glauque comme analogie. Puis elle pleure et il boit ses larmes, mais en fait c'est une analogie avec la pluie qui s'abat sur la demeure, quel génie, ce Stefan ! (ironie). Et je vais me passer de décrire le reste avec des termes comme faible, sans défense, sans résistance, etc.
L'oeuvre est néanmoins sauvé d'un naufrage total par son écriture, son début et les parties « Paysage » comme l'indique le titre du livre.