L'actualité sur La Guerre des forêts
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livre de Edward P. Thompson
Résumé : Au début des années 1720, dans les environs de Windsor, une véritable « guerre des forêts » oppose les petits paysans à l’oligarchie locale, qui entend leur interdire l’accès à ses réserves et terrains de chasse. Il en résulte une loi terrible, le « Black Act », qui rend passible de la peine de mort le braconnage et le simple fait de pénétrer armé, ou le visage maquillé de noir (d’où le nom de « loi noire »), dans une forêt ou un parc, pour y tuer ou voler un cerf. L’atteinte à la propriété est ainsi criminalisée à l’extrême, et cette loi ne sera abrogée qu’un siècle plus tard, en 1827. Cet épisode s’inscrit dans la longue histoire de la résistance paysanne face au capitalisme agraire, qui grignote peu à peu tous les anciens droits d’usage collectifs et réduit les plus faibles à la misère. Il illustre la violence de la domination sociale dans l’Angleterre des rois George, où l’oligarchie des notables whig règne par la loi du profit et la corruption. L’analyse magistrale qu’en donne le grand historien britannique E. P. Thompson montre comment s’impose, dans l’arène juridique, la défense de la propriété individuelle contre les solidarités traditionnelles et les droits coutumiers. Il fait revivre la brutalité du pouvoir des notables, et la détermination des braconniers, perdants magnifiques : la « guerre des forêts » est aussi une lutte de classes sans merci.
Le 27 juin 2024
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livre de Edward P. Thompson
Résumé : Au début des années 1720, dans les environs de Windsor, une véritable « guerre des forêts » oppose les petits paysans à l’oligarchie locale, qui entend leur interdire l’accès à ses réserves et terrains de chasse. Il en résulte une loi terrible, le « Black Act », qui rend passible de la peine de mort le braconnage et le simple fait de pénétrer armé, ou le visage maquillé de noir (d’où le nom de « loi noire »), dans une forêt ou un parc, pour y tuer ou voler un cerf. L’atteinte à la propriété est ainsi criminalisée à l’extrême, et cette loi ne sera abrogée qu’un siècle plus tard, en 1827. Cet épisode s’inscrit dans la longue histoire de la résistance paysanne face au capitalisme agraire, qui grignote peu à peu tous les anciens droits d’usage collectifs et réduit les plus faibles à la misère. Il illustre la violence de la domination sociale dans l’Angleterre des rois George, où l’oligarchie des notables whig règne par la loi du profit et la corruption. L’analyse magistrale qu’en donne le grand historien britannique E. P. Thompson montre comment s’impose, dans l’arène juridique, la défense de la propriété individuelle contre les solidarités traditionnelles et les droits coutumiers. Il fait revivre la brutalité du pouvoir des notables, et la détermination des braconniers, perdants magnifiques : la « guerre des forêts » est aussi une lutte de classes sans merci.
Ah oui mais comme Thompson est marxiste, il débat avec les autres marxistes :D
Le 25 févr. 2024
C'est la première fois que j'entends citer cet auteur, je trouve ça très intéressant en tout cas
Le 25 févr. 2024
J'avais écrit une critique de son ouvrage majeur si ça t'intéresse : https://www.senscritique.com/livre/la_formation_de_la_classe_ouvriere_anglaise/critique/298471725 C'est effectivement un auteur passionnant !
Le 25 févr. 2024
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livre de Edward P. Thompson
Résumé : Au début des années 1720, dans les environs de Windsor, une véritable « guerre des forêts » oppose les petits paysans à l’oligarchie locale, qui entend leur interdire l’accès à ses réserves et terrains de chasse. Il en résulte une loi terrible, le « Black Act », qui rend passible de la peine de mort le braconnage et le simple fait de pénétrer armé, ou le visage maquillé de noir (d’où le nom de « loi noire »), dans une forêt ou un parc, pour y tuer ou voler un cerf. L’atteinte à la propriété est ainsi criminalisée à l’extrême, et cette loi ne sera abrogée qu’un siècle plus tard, en 1827. Cet épisode s’inscrit dans la longue histoire de la résistance paysanne face au capitalisme agraire, qui grignote peu à peu tous les anciens droits d’usage collectifs et réduit les plus faibles à la misère. Il illustre la violence de la domination sociale dans l’Angleterre des rois George, où l’oligarchie des notables whig règne par la loi du profit et la corruption. L’analyse magistrale qu’en donne le grand historien britannique E. P. Thompson montre comment s’impose, dans l’arène juridique, la défense de la propriété individuelle contre les solidarités traditionnelles et les droits coutumiers. Il fait revivre la brutalité du pouvoir des notables, et la détermination des braconniers, perdants magnifiques : la « guerre des forêts » est aussi une lutte de classes sans merci.
livre de Edward P. Thompson
Résumé : Au début des années 1720, dans les environs de Windsor, une véritable « guerre des forêts » oppose les petits paysans à l’oligarchie locale, qui entend leur interdire l’accès à ses réserves et terrains de chasse. Il en résulte une loi terrible, le « Black Act », qui rend passible de la peine de mort le braconnage et le simple fait de pénétrer armé, ou le visage maquillé de noir (d’où le nom de « loi noire »), dans une forêt ou un parc, pour y tuer ou voler un cerf. L’atteinte à la propriété est ainsi criminalisée à l’extrême, et cette loi ne sera abrogée qu’un siècle plus tard, en 1827. Cet épisode s’inscrit dans la longue histoire de la résistance paysanne face au capitalisme agraire, qui grignote peu à peu tous les anciens droits d’usage collectifs et réduit les plus faibles à la misère. Il illustre la violence de la domination sociale dans l’Angleterre des rois George, où l’oligarchie des notables whig règne par la loi du profit et la corruption. L’analyse magistrale qu’en donne le grand historien britannique E. P. Thompson montre comment s’impose, dans l’arène juridique, la défense de la propriété individuelle contre les solidarités traditionnelles et les droits coutumiers. Il fait revivre la brutalité du pouvoir des notables, et la détermination des braconniers, perdants magnifiques : la « guerre des forêts » est aussi une lutte de classes sans merci.
livre de Edward P. Thompson
Résumé : Au début des années 1720, dans les environs de Windsor, une véritable « guerre des forêts » oppose les petits paysans à l’oligarchie locale, qui entend leur interdire l’accès à ses réserves et terrains de chasse. Il en résulte une loi terrible, le « Black Act », qui rend passible de la peine de mort le braconnage et le simple fait de pénétrer armé, ou le visage maquillé de noir (d’où le nom de « loi noire »), dans une forêt ou un parc, pour y tuer ou voler un cerf. L’atteinte à la propriété est ainsi criminalisée à l’extrême, et cette loi ne sera abrogée qu’un siècle plus tard, en 1827. Cet épisode s’inscrit dans la longue histoire de la résistance paysanne face au capitalisme agraire, qui grignote peu à peu tous les anciens droits d’usage collectifs et réduit les plus faibles à la misère. Il illustre la violence de la domination sociale dans l’Angleterre des rois George, où l’oligarchie des notables whig règne par la loi du profit et la corruption. L’analyse magistrale qu’en donne le grand historien britannique E. P. Thompson montre comment s’impose, dans l’arène juridique, la défense de la propriété individuelle contre les solidarités traditionnelles et les droits coutumiers. Il fait revivre la brutalité du pouvoir des notables, et la détermination des braconniers, perdants magnifiques : la « guerre des forêts » est aussi une lutte de classes sans merci.
livre de Edward P. Thompson
Résumé : Au début des années 1720, dans les environs de Windsor, une véritable « guerre des forêts » oppose les petits paysans à l’oligarchie locale, qui entend leur interdire l’accès à ses réserves et terrains de chasse. Il en résulte une loi terrible, le « Black Act », qui rend passible de la peine de mort le braconnage et le simple fait de pénétrer armé, ou le visage maquillé de noir (d’où le nom de « loi noire »), dans une forêt ou un parc, pour y tuer ou voler un cerf. L’atteinte à la propriété est ainsi criminalisée à l’extrême, et cette loi ne sera abrogée qu’un siècle plus tard, en 1827. Cet épisode s’inscrit dans la longue histoire de la résistance paysanne face au capitalisme agraire, qui grignote peu à peu tous les anciens droits d’usage collectifs et réduit les plus faibles à la misère. Il illustre la violence de la domination sociale dans l’Angleterre des rois George, où l’oligarchie des notables whig règne par la loi du profit et la corruption. L’analyse magistrale qu’en donne le grand historien britannique E. P. Thompson montre comment s’impose, dans l’arène juridique, la défense de la propriété individuelle contre les solidarités traditionnelles et les droits coutumiers. Il fait revivre la brutalité du pouvoir des notables, et la détermination des braconniers, perdants magnifiques : la « guerre des forêts » est aussi une lutte de classes sans merci.
a recommandé le livre
, lui a attribué 8/10 et l'a ajouté à sa liste
livre de Edward P. Thompson
Résumé : Au début des années 1720, dans les environs de Windsor, une véritable « guerre des forêts » oppose les petits paysans à l’oligarchie locale, qui entend leur interdire l’accès à ses réserves et terrains de chasse. Il en résulte une loi terrible, le « Black Act », qui rend passible de la peine de mort le braconnage et le simple fait de pénétrer armé, ou le visage maquillé de noir (d’où le nom de « loi noire »), dans une forêt ou un parc, pour y tuer ou voler un cerf. L’atteinte à la propriété est ainsi criminalisée à l’extrême, et cette loi ne sera abrogée qu’un siècle plus tard, en 1827. Cet épisode s’inscrit dans la longue histoire de la résistance paysanne face au capitalisme agraire, qui grignote peu à peu tous les anciens droits d’usage collectifs et réduit les plus faibles à la misère. Il illustre la violence de la domination sociale dans l’Angleterre des rois George, où l’oligarchie des notables whig règne par la loi du profit et la corruption. L’analyse magistrale qu’en donne le grand historien britannique E. P. Thompson montre comment s’impose, dans l’arène juridique, la défense de la propriété individuelle contre les solidarités traditionnelles et les droits coutumiers. Il fait revivre la brutalité du pouvoir des notables, et la détermination des braconniers, perdants magnifiques : la « guerre des forêts » est aussi une lutte de classes sans merci.
Le 3 nov. 2020
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