Bon, pas ouf.
Tout est exagéré. L'auteur se prend pour un historien.
On est sensé trouvé ca normal, car c'est ainsi qu’étaient écrite les légendes au moyen age. On idéalisait. On grossissait les trais.
Je pense que j'aurai préféré lire une vraie épopée moyenâgeuse.
Ici je me suis ennuyée, et je me suis parfois énervée seule devant le livre.
Je dois avoué que j'ai directement pris les auteurs en grippe, à cause de leur facon de sexualiser l'héroine enfant (moins de 10 ans).
On assiste à son premier viol. On comprend bien que c'est une période dur, un monde violent.
Mais on nous fait comprendre que c'est pas très grave, car elle n'est pas viege, elle a deja eu du sexe consentant avec des petits camarades.
Car l'heroine est une enfant dans un camp de mercenaire. Elle est élevée et vis comme une chienne (il est dit que ces enfants se nourrissent aux tetons des chiennes), alors forcement elle a deja baisé avec ses camarades comme la chienne qu'elle est. Cela sous entend que l'on a des pulsions sexuels à moins de 10 ans, je ne suis vraiment pas sur. Et surtout, je n'ai pas compris ce que cela apportait à l'histoire ?!
Rien d'autre n'est trop dit sur l'organisation du camp. A part que chacun est sale, mal élevé. J'ai un peu du mal à imaginer cela. Il y a des centaines de personnes, des soldats, des armuriers, des prostituées, une équipe de lavandière... C'est un peu gros que personne s'occupe des gosses.
Bref, la gamine est sexy. D'ailleurs elle deviendra encore plus sexy avec sa cicatrice après son viol. Tout le monde veut la baiser.
Elle est aussi badass. Elle aime la violence.
Elle est l'élu.
On sent la volonté de mettre en valeur un personnage feminin fort, mais tout ca me rend mal à l'aise je ne sais pourquoi.