L'actualité sur La Joie

1929 • livre de Georges Bernanos

Résumé : M. de Clergerie, un historien médiocre et obsédé par ses ambitions académiques, vit dans son château artésien. Autour de lui, sa mère, une femme murée dans le mensonge, Fiodor, un chauffeur russe éthéromane et attiré par le mysticisme, Fernande la cuisinière, François le valet, et surtout Chantal de Clergerie, une belle jeune femme prête à se sacrifier pour le salut des autres. Prix Femina 1929 «Cette œuvre n'offre aucune commune mesure avec quoi que ce soit d'autre, soit, dans le présent, soit même dans le passé.» Gabriel Marcel «Bernanos, de sa poigne rude, nous maintient dans cet univers de la chute et de la Rédemption, qui est le nôtre à tous, croyants et incroyants. Car il n'est pas nécessaire d'avoir la foi pour s'y reconnaître, tel est le pouvoir de cette œuvre fulgurante.» François Mauriac «Il a écrit les plus belles scènes de la fiction moderne, par la profondeur et la puissance.» André Malraux «Bernanos savait toutes ces choses qui nous font souffrir. C'est même de cela que sa grandeur était faite. Il avait beau se présenter à nous en veston, il était l'homme de l'invisible.» Julien Green

1929 • livre de Georges Bernanos

Résumé : M. de Clergerie, un historien médiocre et obsédé par ses ambitions académiques, vit dans son château artésien. Autour de lui, sa mère, une femme murée dans le mensonge, Fiodor, un chauffeur russe éthéromane et attiré par le mysticisme, Fernande la cuisinière, François le valet, et surtout Chantal de Clergerie, une belle jeune femme prête à se sacrifier pour le salut des autres. Prix Femina 1929 «Cette œuvre n'offre aucune commune mesure avec quoi que ce soit d'autre, soit, dans le présent, soit même dans le passé.» Gabriel Marcel «Bernanos, de sa poigne rude, nous maintient dans cet univers de la chute et de la Rédemption, qui est le nôtre à tous, croyants et incroyants. Car il n'est pas nécessaire d'avoir la foi pour s'y reconnaître, tel est le pouvoir de cette œuvre fulgurante.» François Mauriac «Il a écrit les plus belles scènes de la fiction moderne, par la profondeur et la puissance.» André Malraux «Bernanos savait toutes ces choses qui nous font souffrir. C'est même de cela que sa grandeur était faite. Il avait beau se présenter à nous en veston, il était l'homme de l'invisible.» Julien Green

1929 • livre de Georges Bernanos

Résumé : M. de Clergerie, un historien médiocre et obsédé par ses ambitions académiques, vit dans son château artésien. Autour de lui, sa mère, une femme murée dans le mensonge, Fiodor, un chauffeur russe éthéromane et attiré par le mysticisme, Fernande la cuisinière, François le valet, et surtout Chantal de Clergerie, une belle jeune femme prête à se sacrifier pour le salut des autres. Prix Femina 1929 «Cette œuvre n'offre aucune commune mesure avec quoi que ce soit d'autre, soit, dans le présent, soit même dans le passé.» Gabriel Marcel «Bernanos, de sa poigne rude, nous maintient dans cet univers de la chute et de la Rédemption, qui est le nôtre à tous, croyants et incroyants. Car il n'est pas nécessaire d'avoir la foi pour s'y reconnaître, tel est le pouvoir de cette œuvre fulgurante.» François Mauriac «Il a écrit les plus belles scènes de la fiction moderne, par la profondeur et la puissance.» André Malraux «Bernanos savait toutes ces choses qui nous font souffrir. C'est même de cela que sa grandeur était faite. Il avait beau se présenter à nous en veston, il était l'homme de l'invisible.» Julien Green

1929 • livre de Georges Bernanos

Résumé : M. de Clergerie, un historien médiocre et obsédé par ses ambitions académiques, vit dans son château artésien. Autour de lui, sa mère, une femme murée dans le mensonge, Fiodor, un chauffeur russe éthéromane et attiré par le mysticisme, Fernande la cuisinière, François le valet, et surtout Chantal de Clergerie, une belle jeune femme prête à se sacrifier pour le salut des autres. Prix Femina 1929 «Cette œuvre n'offre aucune commune mesure avec quoi que ce soit d'autre, soit, dans le présent, soit même dans le passé.» Gabriel Marcel «Bernanos, de sa poigne rude, nous maintient dans cet univers de la chute et de la Rédemption, qui est le nôtre à tous, croyants et incroyants. Car il n'est pas nécessaire d'avoir la foi pour s'y reconnaître, tel est le pouvoir de cette œuvre fulgurante.» François Mauriac «Il a écrit les plus belles scènes de la fiction moderne, par la profondeur et la puissance.» André Malraux «Bernanos savait toutes ces choses qui nous font souffrir. C'est même de cela que sa grandeur était faite. Il avait beau se présenter à nous en veston, il était l'homme de l'invisible.» Julien Green

1929 • livre de Georges Bernanos

Résumé : M. de Clergerie, un historien médiocre et obsédé par ses ambitions académiques, vit dans son château artésien. Autour de lui, sa mère, une femme murée dans le mensonge, Fiodor, un chauffeur russe éthéromane et attiré par le mysticisme, Fernande la cuisinière, François le valet, et surtout Chantal de Clergerie, une belle jeune femme prête à se sacrifier pour le salut des autres. Prix Femina 1929 «Cette œuvre n'offre aucune commune mesure avec quoi que ce soit d'autre, soit, dans le présent, soit même dans le passé.» Gabriel Marcel «Bernanos, de sa poigne rude, nous maintient dans cet univers de la chute et de la Rédemption, qui est le nôtre à tous, croyants et incroyants. Car il n'est pas nécessaire d'avoir la foi pour s'y reconnaître, tel est le pouvoir de cette œuvre fulgurante.» François Mauriac «Il a écrit les plus belles scènes de la fiction moderne, par la profondeur et la puissance.» André Malraux «Bernanos savait toutes ces choses qui nous font souffrir. C'est même de cela que sa grandeur était faite. Il avait beau se présenter à nous en veston, il était l'homme de l'invisible.» Julien Green

1929 • livre de Georges Bernanos

Résumé : M. de Clergerie, un historien médiocre et obsédé par ses ambitions académiques, vit dans son château artésien. Autour de lui, sa mère, une femme murée dans le mensonge, Fiodor, un chauffeur russe éthéromane et attiré par le mysticisme, Fernande la cuisinière, François le valet, et surtout Chantal de Clergerie, une belle jeune femme prête à se sacrifier pour le salut des autres. Prix Femina 1929 «Cette œuvre n'offre aucune commune mesure avec quoi que ce soit d'autre, soit, dans le présent, soit même dans le passé.» Gabriel Marcel «Bernanos, de sa poigne rude, nous maintient dans cet univers de la chute et de la Rédemption, qui est le nôtre à tous, croyants et incroyants. Car il n'est pas nécessaire d'avoir la foi pour s'y reconnaître, tel est le pouvoir de cette œuvre fulgurante.» François Mauriac «Il a écrit les plus belles scènes de la fiction moderne, par la profondeur et la puissance.» André Malraux «Bernanos savait toutes ces choses qui nous font souffrir. C'est même de cela que sa grandeur était faite. Il avait beau se présenter à nous en veston, il était l'homme de l'invisible.» Julien Green

1929 • livre de Georges Bernanos

Résumé : M. de Clergerie, un historien médiocre et obsédé par ses ambitions académiques, vit dans son château artésien. Autour de lui, sa mère, une femme murée dans le mensonge, Fiodor, un chauffeur russe éthéromane et attiré par le mysticisme, Fernande la cuisinière, François le valet, et surtout Chantal de Clergerie, une belle jeune femme prête à se sacrifier pour le salut des autres. Prix Femina 1929 «Cette œuvre n'offre aucune commune mesure avec quoi que ce soit d'autre, soit, dans le présent, soit même dans le passé.» Gabriel Marcel «Bernanos, de sa poigne rude, nous maintient dans cet univers de la chute et de la Rédemption, qui est le nôtre à tous, croyants et incroyants. Car il n'est pas nécessaire d'avoir la foi pour s'y reconnaître, tel est le pouvoir de cette œuvre fulgurante.» François Mauriac «Il a écrit les plus belles scènes de la fiction moderne, par la profondeur et la puissance.» André Malraux «Bernanos savait toutes ces choses qui nous font souffrir. C'est même de cela que sa grandeur était faite. Il avait beau se présenter à nous en veston, il était l'homme de l'invisible.» Julien Green

1929 • livre de Georges Bernanos

Résumé : M. de Clergerie, un historien médiocre et obsédé par ses ambitions académiques, vit dans son château artésien. Autour de lui, sa mère, une femme murée dans le mensonge, Fiodor, un chauffeur russe éthéromane et attiré par le mysticisme, Fernande la cuisinière, François le valet, et surtout Chantal de Clergerie, une belle jeune femme prête à se sacrifier pour le salut des autres. Prix Femina 1929 «Cette œuvre n'offre aucune commune mesure avec quoi que ce soit d'autre, soit, dans le présent, soit même dans le passé.» Gabriel Marcel «Bernanos, de sa poigne rude, nous maintient dans cet univers de la chute et de la Rédemption, qui est le nôtre à tous, croyants et incroyants. Car il n'est pas nécessaire d'avoir la foi pour s'y reconnaître, tel est le pouvoir de cette œuvre fulgurante.» François Mauriac «Il a écrit les plus belles scènes de la fiction moderne, par la profondeur et la puissance.» André Malraux «Bernanos savait toutes ces choses qui nous font souffrir. C'est même de cela que sa grandeur était faite. Il avait beau se présenter à nous en veston, il était l'homme de l'invisible.» Julien Green

1929 • livre de Georges Bernanos

Résumé : M. de Clergerie, un historien médiocre et obsédé par ses ambitions académiques, vit dans son château artésien. Autour de lui, sa mère, une femme murée dans le mensonge, Fiodor, un chauffeur russe éthéromane et attiré par le mysticisme, Fernande la cuisinière, François le valet, et surtout Chantal de Clergerie, une belle jeune femme prête à se sacrifier pour le salut des autres. Prix Femina 1929 «Cette œuvre n'offre aucune commune mesure avec quoi que ce soit d'autre, soit, dans le présent, soit même dans le passé.» Gabriel Marcel «Bernanos, de sa poigne rude, nous maintient dans cet univers de la chute et de la Rédemption, qui est le nôtre à tous, croyants et incroyants. Car il n'est pas nécessaire d'avoir la foi pour s'y reconnaître, tel est le pouvoir de cette œuvre fulgurante.» François Mauriac «Il a écrit les plus belles scènes de la fiction moderne, par la profondeur et la puissance.» André Malraux «Bernanos savait toutes ces choses qui nous font souffrir. C'est même de cela que sa grandeur était faite. Il avait beau se présenter à nous en veston, il était l'homme de l'invisible.» Julien Green