Suite de "La poupée sanglante" où nous retrouvons les protagonistes là où on les avait laissés.
Si j'ai bien aimé ce dernier, "La machine à assassiner" m'a bien moins plus.
Le côté fantastique est beaucoup plus léger que le premier roman. Cela laisse la place à toute la partie scientifique autour de la machine "Gabriel". On suit le récit d'un point de vue externe, et quelque peu décousu, le parcours de Gabriel, de Christine et de Jacques.
J'ai trouvé le récit lourd, avec beaucoup de description et plusieurs longueurs. L'histoire démarre lentement et l'on retrouve nos personnages que tardivement. Christine m'a paru nunuche ici et Jacques un peu lamentable.
On a cependant certaines réponses aux mystères de l'empouse et du marquis, ainsi que sur les jeunes filles disparues dont a été accusé Bénédict Masson pour leurs assassinats.
Gaston Leroux use d'humour et de sarcasme pour dépeindre les Parisiens qui se retrouvent mêlés à cette intrigue.
Une suite qui se laisse lire mais sans plus pour moi.